Tuesday, October 28, 2008

FNL Palipehutu s'en prend au Gouvernement Burundais


Les militants du Palipe Hutu FNL ont orgonisé des démonstration dans presque toutes les provinces du pays surtout dans les provinces suivant: Bururi, Muyinga, Ruyigi, Bubanza na Cibitoke. Lizer la suite:

Bujumbura, Burundi
Source: Arib.info

Le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion) a refusé du bout des lèvres, la paternité des marches-manifestations qui ont troublé quelque peu, lundi matin, la quiétude des habitants de Bujumbura, la capitale du Burundi et de plusieurs autres grandes villes du pays, sur fond de revendications à caractère politique.

Des tracts et graffitis hostiles à l'Etat burundais et aux ingérences extérieures dans les affaires nationales sont également apparus dans les rues et sur les murs des grandes villes du pays.

Le porte-parole du PALIPEHUTU-FNL, Pasteur Habimana, est venu parler à la presse d'un "mouvement spontané" de la population en faveur de la paix, mais sans le revendiquer ouvertement.

Du coté du gouvernement, le chef de Cabinet au ministère de l'Intérieur et du Développement communal, Aimé Nkurunziza, s'est chargé de répondre à chaud par une mise en garde sévère contre des "troubles à l'ordre public qui ne resteront pas impunis".

Les deux parties sont pourtant liées par un accord de cessez-le-feu global depuis le 7 septembre 2006, mais dont la mise en application effective se fait toujours attendre.

Une grande partie des 21.000 combattants que revendique le mouvement rebelle sur le terrain n'a toujours pas été démobilisée et réintégrée dans une nouvelle vie socio-économique, le PALIPEHUTU-FNL n'a pas encore d'existence légale, tandis que ses dirigeants s'impatientent de savoir les places qui leur reviendront dans les différentes institutions du pouvoir plusieurs années après avoir souscrit à l'accord global de cessez-le-feu.

Le gouvernement burundais a déjà signifié fermement que tous ces points restaient "recevables et négociables", sauf celui ayant traité l'agrément "anti-constitutionnel" du PALIPEHUTU-FNL en tant que parti politique, sans avoir préalablement renoncé à son appellation ethniquement connoté.

Après la guerre des ondes, d'aucuns se demandent, dans les milieux sécuritaires à Bujumbura, si les parties belligérantes ne sont pas à un doigt de relancer les hostilités sur le terrain militaire.

L'initiative régionale de paix pour le Burundi et la médiation sud-africaine s'activent à empêcher le pire tant redouté par les plus pessimistes des analystes des questions politico sécuritaires nationales.

Le médiateur principal, Charles Nqakula, ainsi que les ministres des Affaires étrangères ougandais, tanzanien et sud-africain étaient attendus, lundi à Bujumbura.

L'Ouganda et la Tanzanie assurent, respectivement, la présidence et la vice-présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi.

Un sommet des chefs d'Etat membres de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi ne serait pas non plus à exclure dans les prochains jours, murmure-t-on de sources diplomatiques à Bujumbura.

Le précédent sommet s'était montré ferme en donnant jusqu'au 31 décembre prochain aux parties belligérantes pour conclure un accord définitif et global de cessez-le-feu avant la fin de l'année 2008, sous peine de sanctions de la communautés internationale.

L'initiative régionale a déjà consacré une vingtaine de sommets sur le Burundi et arraché une série d'accords de cessez-le-feu entre différents pouvoirs légalement établis à Bujumbura et six des sept ex-principales rébellions ayant pris une part active dans la décennie écoulée de guerre civile.

Saturday, October 25, 2008

Voulez-vous Rire?

C'est un clip sans image mais c'est Audio: Ce rwandais est ivre et s'explique a la police Belge: Very funny


Vugaduhabwe

Entre Nkurunziza et Rwasa, qui ame vraiment le peuple Burundais?


Pour nous autres naif en science politque mais doté du sens commun: on ne comprend rien ce qui ce passe entre Bujumbura et le mouvement FNL...Le gouvernement sauvegarde la constitution et ne peut pas la violer en aggreant the mouvement FNL come parti politique: Dit donc soyons serieux, le gouvernement a violé la constitution milles et une fois: Si la paix coûte chère comme ça, il n'a pas de choix. FNL de sa part veut garder son nom de sauveur du peuple Hutu: Est ce que garder son nom et refuser la paix au peuple, abadonner leur combattants au cholera à Cibikoke et un peut partout dans le pays un argument convainuant! Attendre non plus après les éléctions de 2010 n'est pas non plus une solution.
Il est bien claire que tout le monde veut une victoire pour le 2010. Mais n'est ce pas que c'est nous le peuple qui guarantie cette victoire?
Voila encore, il faut convoquer une réunion de la sous region pour qu'ils pensent et decident en notre place...Museveni doit être fatique! Je suis desolé de tous les deux: Nkurunziza et Rwasa! Vous nous avez reduis aux spectateurs dans notre propre pays!
Vugaduhabwe

L'article en bas donne le bilan des negociation entre Bujumbura et Rwasa:
Source: arib.info

Bujumbura, Burundi - Le médiateur dans le conflit burundais et ministre sud-africain de la Défense, Charles Nqakula, est reparti jeudi de Bujumbura sans avoir fait bouger les positions des parties belligérantes sur les points encore litigieux dans leur accord de cessez-le-feu, en souffrance depuis plus de trois ans, apprend-on de source diplomatique dans la capitale burundaise.

M. Nqakula avait réuni, la veille, pendant six heures, le chef de l'Etat burundais, Pierre Nkurunziza, et le leader du parti pour la Libération du peuple hutu/front national de libération (PALIPEHUTU- FNL), Agathon Rwasa, mais sans parvenir à rapprocher leurs positions toujours rigides, notamment, en ce qui concerne le changement d'appellation du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays pour mériter l'agrément en tant que parti politique, œuvrant dans la légalité constitutionnelle.

Après Bujumbura, le médiateur s'était ensuite rendu à Kampala, en Ouganda, pour rendre compte des points de blocage dans sa délicate mission au président de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi et chef de l'Etat ougandais, Yoweri Museveni.

Il est ensuite revenu, jeudi, dans la capitale burundaise, avant de retourner chez-lui en Afrique du Sud, mais sans une nouvelle rencontre avec les protagonistes de la crise sociopolitique dans le pays, et sans faire de déclaration à la presse.

Le directoire politique, qui assiste la médiation sud-africaine dans le conflit burundais, s'est chargé de rendre public, ce vendredi, un communiqué de presse très bref, avec surtout des termes diplomatiques, qui renseigne simplement que la présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi a "bien accueilli" le rapport présenté par le facilitateur.

"Par conséquent, l'initiative régionale a instruit les ministres des Affaires étrangères de la Tanzanie, de l'Ouganda et d'Afrique du sud, en collaboration avec la facilitation, d'effectuer une visite au Burundi aussitôt que possible, en vue de poursuivre les discussions avec le gouvernement burundais et le PALIPEHUTU-FNL quant à la voie à suivre pour aller de l'avant", peut-on encore lire dans le communiqué.

L'Ouganda et la Tanzanie assurent, respectivement, la présidence et la vice-présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi.

Le directoire politique, quant à lui, a été mis en place pour épauler la médiation sud-africaine et se compose de diplomates des Nations unies, de l'Union africaine et de l'Union européenne œuvrant au Burundi.

Les points de blocage, dans la mise en application effective de l'accord de cessez-le-feu, font craindre de plus en plus, dans l'opinion nationale, un retour aux hostilités.

La dernière confrontation d'envergure entre militaires burundais et les rebelles du PALIPEHUTU remonte à avril dernier et avait fait une centaine de tués de part et d'autres des belligérants, avant la conclusion d'un nouvel accord de cessez-le-feu entre le pouvoir central et la seule rébellion encore active des sept qu'a connues le Burundi au cours de ces 14 dernières années de guerre civile.

Friday, October 24, 2008

Union Interparlementaire: Est-ce que les 22 parlementaires vont revenir au Parlement ?


les dispositions constitutionnelles et légales suivantes :
- aux termes de l’Article 149 de la Constitution, « Le mandat des députés et des sénateurs a un caractère national. Tout mandat impératif est nul. Le vote des députés et des sénateurs est personnel »;
- l’Article 156 (section 1) de la Constitution dispose que « Le mandat de député et celui de sénateur prend fin par décès, la démission, l’incapacité permanente et l’absence injustifiée à plus d’un quart des séances d’une session ou lorsque le député ou le sénateur tombe dans l’un des cas de déchéance prévus par une loi organique » (telle que le Code électoral et le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale);
- l’article 132 du Code électoral se lit comme suit : « Le mandat d’un député peut prendre fin avant son terme normal, soit en cas de vacance constatée par suite de décès, de démission, d’inaptitude physique, d’incapacité permanente, d’absence injustifiée à plus d’un quart des séances d’une session, ou de déchéance consécutive à la perte d’une condition d’éligibilité ou à la survenance d’une cause d’inéligibilité… »

Lire le raport de l'Union interparlemtaire Ici

Source:Burundi Free News

Monday, October 20, 2008

Paying a tribute to Ndadaye Melchior


For many people from Burundi, a day like October 21 exhumes very painful memories: Ndadaye and many others killed like criminals. Those who follow what has been going on in that country worry that his legacy has been overlooked by people who are supposed to safeguard it. Even they want to sell his tomb to aliens who have no idea about the fight Ndadaye started. It is as if we want to become a history-less nation!
For some, it is just another day, but I can still remember that night of the 21st: It was a nightmare in many ways...Even before opening the radio in the morning, we knew something fishy was going on in the country.
For others, it is the moment to remember family members who succombed, and rethink whether it is time to forgive and forget or forget altogether if that`s possible...
And for the judicial system in Burundi, it is time for shame, because it is one of the few tragedy without any serious judicial procedures! Did they hate Ndadaye this much? Even if they did, isn`t it again the judicial deontology to render justice only to the one you like or share political ideas?

Share with the rest of the blogging community where you where on that very day...and what it was for you the next day when you opened the radio and heard the news!

Post in the comment area!

Saturday, October 18, 2008

Position du CNDD:"Les partis politiques peuvent ester en justice"


DECLARATION DU CNDD AU SUJET DE L'ORDONNANCE MINISTERIELLE N° 530 DU 06 OCTOBRE 2008 PORTANT REGLEMENTATION DES REUNIONS ET MANIFESTATIONS DES PARTIS POLITIQUES ET AUTRES ASSOCIATIONS AU BURUNDI

0. Suite à la publication par le Ministre de l’intérieur et du développement communal de l’ordonnance n° 530 du 06 octobre 2008, le parti CNDD porte à la connaissance de l'opinion nationale et internationale ce qui suit:

A. Motivations

1. Attendu que la Constitution de la République du Burundi consacre le multipartisme et qu'en vertu de l'article 32 de la dite Constitution, "La liberté de réunion et d’association est garantie, de même que le droit de fonder des associations ou organisations conformément à la loi".

2. Attendu qu'en son article 19, les Pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme font partie intégrante de la Constitution de la République du Burundi et que Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, adopté le 16 décembre 1966 et entré en vigueur le 23 mars 1976 dispose en son article 21 que : "Le droit de réunion pacifique est reconnu";

3. Attendu que la loi n° 1/ 006 du 26 juin 2003 portant organisation et fonctionnement des partis politiques stipule en son article 4 que " Les partis politiques se créent, s’organisent et exercent leurs activités librement, sous réserve des dispositions reprises à l’article 23 de la présente loi" et précise en son article 12 que "Les partis politiques peuvent tenir des réunions, organiser des manifestations et faire de la propagande dans les conditions prévues par la loi";

4. Attendu que tous ces textes insistent sur la liberté d’association, de réunion et d’expression, et que les entraves et autres dérogations sont des exceptions qui doivent être à la fois rares et encadrées par la loi dans le souci du bien public et non dans le but inavoué d’octroyer des avantages politiques au parti au pouvoir;

5. Considérant que l'ordonnance prétend s'inspirer du décret n° 100/ 187/ 91 du 31 décembre 1991, décret édicté pendant la période du monopartisme et qui avait donc besoin d'être approuvé et érigé en une loi régulièrement votée par l'Assemblée Nationale;

6. Considérant que la dite ordonnance mise en circulation et qui devrait se référer à une loi, s'est plutôt référée à un décret caduc et que même en la rédigeant, la référence visée n’existe pas : « Décret-loi n° 100/0107/91 du 31 décembre 1991 »; à ce titre alors, cette ordonnance est inadéquate, anachronique, nulle et de nul effet;

7. Attendu que le but inavoué mais manifeste de cette ordonnance est une restriction des libertés reconnues par la loi fondamentale, comme en témoignent entre autres les réductions des heures des réunions: "Les réunions et manifestations des Partis politiques et autres associations ne peuvent commencer avant onze heures les samedis ou sept heures du matin les dimanches, ni se prolonger au-delà de dix-huit heures" alors que les samedis sont jusqu'à nouvel ordre consacrés chômés et payés depuis 1993 ;

7. Compte tenu du caractère ambigu de certaines dispositions donnant libre cours à l'arbitraire et au bon vouloir de "l'autorité habilitée" qui n'est autre que celle-là même émanant du parti au pouvoir et agissant sur les injonctions de ce dernier, sans aucune possibilité de recours juridique puisque la décision de l’autorité de premier recours est sans appel ;

8. Attendu que même lors des élections, la présence des forces de l’ordre doit être discrète et placée à une distance d’au moins 100 mètres, tandis que cette ordonnance va jusqu’à autoriser le parti au pouvoir à espionner ses adversaires et à s’ingérer dans leurs affaires internes, puisqu’au termes de l’article 4 de cette ordonnance : « L’autorité administrative peut, selon le cas : -déléguer à la réunion ou à la manifestation un agent pour y assister… » ;

B. Position du CNDD

1. L’esprit de la Constitution et de la loi sur les partis qui reconnaissent le multipartisme a été maintes fois trahi par l’ordonnance, qui manque de base juridique.

2. L’ordonnance a un caractère policier et inquisitoire et consacre une ingérence illégale et inacceptable des pouvoirs publics dans la vie interne des partis politiques et autres associations;

2. Le parti CNDD exige la révocation pure et simple de ladite ordonnance et son retrait de la circulation; faute de quoi il se réserve le droit de porter plainte ainsi que lui en donne la latitude l’article 13 de la loi sur les partis qui dispose que : « Les partis politiques peuvent ester en justice. »

Fait à Bujumbura, le 17 octobre 2008

Pour le CNDD

Hon. Léonard NYANGOMA

Président

Tuesday, October 14, 2008

Bilan de 3 ans du pouvoir par le Leadership Institute

En marge de la commémoration de trois ans au pouvoir du CNDD FDD, nous voudrions faire le bilan suivant :

1. Depuis trois ans, la plupart des militants de première heure croupissent en prison par suite de montages absurdes de la part de leurs propres compagnons de lutte. Le méritent-ils ?

2. Depuis trois ans, ce sont des HUTUS membres ou non membres du CNDD FDD qui sont torturés, emprisonnés ou même tués par le pouvoir NKURUNZIZA.

3. Depuis trois ans, la corruption a atteint des niveaux jamais inégalés depuis que le Burundi existe.

4. Depuis trois ans, le Président NKURUNZIZA a gagné toutes les médailles de la DICTATURE au Burundi.

5. Depuis trois ans, la Justice burundaise est devenue une marionnette du pouvoir contrairement à tous les principes démocratiques qui régissent ce pays et auxquels avaient souscrit tous les protagonistes politiques.

6. Depuis trois ans, des scandales au plus sommet de l’Etat accusent directement le Président de la République et à ce titre restent non élucidés.

7. Depuis trois ans, l’exclusion et l’extrémisme ethnique reviennent en force dans l’exercice du pouvoir.

8. Depuis trois ans, les partis politiques d’opposition voient chaque jour leurs libertés se réduire à néant, par la faute des services d’ordre à la solde du parti CNDD FDD.

9. Depuis trois ans, le Burundi a perdu tous les espoirs qu’avait suscité la victoire du CNDD FDD, qui était considérée comme la victoire de la DEMOCRATIE, mais s’est révélée un leurre car depuis trois ans la DICTATURE s’est enraciné dans la pratique du pouvoir par les membres du CNDD FDD à tous les niveaux.

10. Depuis trois ans, le Burundi est devenu un pays sans LOIS ou la seule loi est celle du parti CNDD FDD ou plutôt celle de quelques individus au sein de la classe dirigeante.

11. Depuis trois ans, le Burundi est au ban de la communauté internationale de démocraties avec un Parlement illégitime et illégal.

12. Depuis trois ans, la communauté internationale assiste, dans un silence complice ou plutôt résigné, rappelant celui des massacres du Rwanda en 2004, à la dégradation de la situation des droits de l’homme, à l’instauration d’un régime autoritaire et dictatorial, au pillage systématique des richesses nationales et des deniers publics.

13. Depuis trois ans, le peuple burundais est condamné à la souffrance, à la faim et à la violation de ses droits civiques et humains.

14. Depuis trois ans, au lieu de l’ESPOIR, le CNDD FDD a imposé l’ENFER et la DESOLATION pour tous les tenants d’un Etat Démocratique garant de la stabilité sociale et politique ainsi que du développement durable.

15. Depuis trois ans, le Burundi n’a toujours pas retrouvé son aura internationale par le fait du manque d’un leadership crédible, compétent et conscient des défis qui incombent au Burundi et à la sous-région dans son ensemble.

16. Depuis trois ans, la vie économique de ce pays ressemble à une véritable mafia avec comme PARRAIN le Président NKURUNZIZA : les rançonnements, les licenciements arbitraires, les passations de marchés arbitraires, les octrois de licences d’exploitation minière, l’instrumentalisation des services des impôts et des douanes comme des outils de collecte de fonds pour le parti au pouvoir et ses dirigeants.

17. Depuis trois ans, l’avenir du Burundi est de plus en plus incertain et toutes les analyses portent à croire que le pire est à venir avec le fait confirmé que les dirigeants actuels n’ACCEPTERONT PAS DE QUITTER LE POUVOIR EN 2010 car ce serait se condamner à la prison avec tous les crimes politiques, économiques et humains dont ils sont accusés oubliant que le pays n’appartient ni a NKURUNZIZA ni au CNDD FDD mais appartient à tous les burundais sans exception.

Source: Burundi Free News
Lire la suite Ici

Sunday, October 12, 2008

Breaking News

Breaking News, Inkuru Nshasha! Frodebu pret pour 2010!

Le sénateur Domitien Ndayizeye vient d’être élu candidat de son Parti SAHWANYA- FRODEBU pour les présidentielles de 2010.

Il revient au pouvoir. Le frodebu est prudent, parceque cet homme est bien connu par les Barundais. Il vaut la peine de rapeller qu`il a été torturé et emprisoné par le regime en place: Il est vue par beaucoup comme un homme à experience politique et économique. Il est aussi vu comme un homme sage dans le milieu social Burundais
La question est peut-être s`il sera â même de remporter la victoire dans un pays qui risque de suivre l`exemple du Kenya et du Zimbabwe. Randez vous en 2010.

Mise en ligne.
Kezaclement

Friday, October 10, 2008

Burundian Refugees in USA: Flee poverty to find poverty (Entre Nous et à Voix Basse)


`Between two vicious situations, choose the least`: some Burundians who resettled in USA can identify with this French saying. They are now part of the American society. In the American society, people belong to social classes. Most of the time, Burundian settlers belong to the poor (american definition of poverty). For those working for as less as $ 5 an hour, one understands that there is no way to humanely survive in USA: It is like being doomed to poverty. But at least they are safe, they can sleep without the fear of someone wanting to share the land they don't have. I suggest reading the article below. Find the link at the bottom of the page to ready the entire article.
Vugaduhabwe.
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Toilet water cascaded into the kitchen an hour before midnight and 14-year-old Theo Ndayishimiye pleaded with 911. Increasingly frustrated, the dispatcher asked whether he had called a plumber.
"No, we don't know how to speak English," the teen answered during the April call, trying to explain with words he had learned only months before. "We're from Africa."
Minutes later, Salt Lake City Fire Capt. Dennis Sharp and his crew pulled up to the tiny Salt Lake City home rented by the family of eight from Burundi.
Mold was growing in the kitchen cupboards, the bathroom and the bedrooms, health records show. Several windows were broken. The bathroom floor was destroyed.
(...)
Poverty 'overwhelming'
The piercing beep had been coming from the kitchen for a few days this August, but Cecelia Bankakaje and her family didn't know what it meant. When a family friend pulled out the smoke detector's dying batteries, the children clustered around, intent on the riddle's answer.
Cockroaches scattered out of the open cupboard doors. The Burundi refugees Cecelia Bankakaje, left, and her daughter Jeanette Matumani, 14, were among 11 family members living together this summer. When they arrived last January, they didn't receive enough coats. They say their landlord has never repaired a massive hole in one of the bedroom's walls. (Leah Hogsten/The Salt Lake Tribune)refrigerator held a half pot of potatoes, some eggs and little

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Source: The Lake Salt Tribune

Actualité du 10-10-2008

Politique

* Le parti Sahwanya FRODEBU menace de quitter le gouvernement. Léonce Ngendakumana, président de ce parti, accuse le ministre de l’intérieur de s’ingérer dans les affaires internes des partis politiques. Il l’a annoncé suite à la sortie d’une Ordonnance ministérielle du 6 octobre 2008 portant sur la réglementation de réunion des partis politiques. Alors que ce parti organise un congrès pour élire un candidat pour les élections de 2010.
* La commune Rumonge, en province Bururi est dotée d’un nouvel administrateur après une année d’administration intérimaire. Alexard Minani Birikunzira du Front pour la Libération Nationale (FROLINA) a été élu par 19 sur 22 conseillers communaux présent dans la séance d’aujourd’hui.
Communication

*Le Conseil National de la Communication (CNC) prend acte de la demande de pardon de la RPA à certaines personnes lésées par les informations qu’elle a publiées. Le climat de tension entre le CNC et la RPA prend donc fin.

Sécurité

* La population et les administrateurs des communes de la province Ruyigi s’insurgent contre la police et la justice de cette province. Pour eux, les bandits appréhendés sont vite relâchés par ces institutions. Selon Nicodème Gahimbare, le procureur de la République à Ruyigi, la Justice n’a pas le droit d’emprisonner un présumé malfaiteur qui manque d’accusateur.

* Deux personnes tuées et trois autres blessées dont un militaire en congé en commune de Ntega de la province Kirundo dans la nuit de mercredi par des personnes armées de fusils, non encore identifiées. La population estime que la vie n’a plus de valeur.

* Huit chargeurs, un fusil, six grenades, six bérets militaires, 281 cartouches. Tel est le bilan d’une fouille perquisition dans la commune urbaine de Musaga. Selon des sources policières, d’autres fouilles seront effectuées dans d’autres quartiers.

Société

* 60 élèves blessés et six classes détruites, hier, par une pluie torrentielle en zone Ruzo, commune Giteranyi en province Muyinga. Ces élèves sont hospitalisés à l’Hôpital de Muyinga.
* Certains vendeurs au marché central de Bujumbura continuent de vendre du lait soupçonné d’être contaminé à la mélamine provenant de Chine. Pour eux, ils continuent de le vendre car on ne leur a pas encore communiqué les résultats des analyses. Le président de l’ Association Burundaise des Consommateurs (ABUCO), Noël Nkurunziza, estime que le gouvernement burundais ne veut pas prendre des mesures draconiennes à l’endroit de ces marchands.


Sécurité
*Bruit de bottes dans le Nord-Kivu. L’ambassadeur de la République Démocratique du Congo a saisit le Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Il accuse le Rwanda de préparer une invasion de la ville de Goma.
* Trois personnes ont été blessées par une grenade à Kivogo près du chef-lieu de Bubanza. Elles participaient à une course poursuite contre des voleurs. Ces derniers avaient dérobé des tôles quand la population a décidé de les interpeller. Cet incident survient quatre jours après l’explosion d’une grenade qui a blessé quatre personnes dans la même commune.
* A Muyinga, la police a saisi des objets volés. Il s’agissait d’une radio, d’un poste de télé ainsi qu’un décodeur. Dans la même province, la population en colère réclame une sanction exemplaire pour les criminels qui ont tué un homme et violé une femme, dimanche dernier.
* Climat d’insécurité à Mahwa en commune Ryansoro (Gitega). La population se plaint de jets de pierres pendant la nuit par des individus non identifiés. L’administrateur Prosper Ngabirano a déclaré que les coupables seront sévèrement sanctionnés. Il a également lancé un appel à la vigilance. Il recommande à la population de travailler en collaboration avec les forces de l’ordre pour rétablir la sécurité.

Politique

L’ambassadeur allemand à Bujumbura, Joseph Wiess, a été reçu en audience par le président du Sénat, ce matin. L’ambassadeur Wiess a promis de mettre en contact les parlementaires burundais avec leurs homologues allemands.


Société
* Une femme a mis au monde des triplés, hier à Ndago en province Muramvya. Tous les trois enfants sont des garçons. Le premier pèse 2kg 100 et le dernier à peine 1 kg. De revenu modeste, Emile Bucumi, l’heureux papa, demande aux associations caritatives de lui venir en aide. La croix rouge lui a déjà fournit des vêtements.

Environnement
*Le directeur du ministère de l’énergie et des mines dénonce l’exploitation anarchique des rivières. Il a déclaré que les services municipaux se sont arrogés le droit de délivrer des permis d’exploitation. Il a rappelé que les rivières de Bujumbura sont fermées à l’exploitation. Il informe aussi le public que l’autorisation d’exploiter les rivières est délivré par le ministre ayant l’énergie et les mines dans ses attributions.
Source: www.iwacu-burundi.org

Friday, October 3, 2008

Wow...These Artist Are free!!!!!!!!!!

These are artists, are dangerously saying that leaders have distributed weapons: Since they know to whom they gave these guns, why can`t they go out there and get them if they need peace! Humm


Thursday, October 2, 2008

Barbaric beliefs from Tanzania cross Maragarazi

Image from www.bio.davidson.edu

Bujumbura - Two albinos were murdered and cut into pieces in Burundi by attackers suspected of seeking to sell the body parts in Tanzania where witch doctors use them for lucky potions, officials said on Thursday.

The grisly murders have caused panic among the small central African country's albino community, forcing the authorities to gather them in a few protected areas.

Daniel Nzeyimana was attacked on Wednesday by gunmen armed with rifles at his home in Bweru, a town in the eastern province of Ruyigi, local governor Moise Bucumi said.

"They decapitated him, cut off his arms and legs and made away with the parts," he said.

In the same province, a 16-year-old girl was killed in a similar incident on September 22. "She was murdered, and again they cut off her arms and legs and took them away," the governor said.

"According to the investigation's preliminary findings, these crimes are connected to witchcraft... The locals claim these people go to Tanzania to sell these albino arms and legs, where they will be used to make charms and potions," Bucumi said.

"The albinos are terrified. We have decided to gather them in small groups and around a dozen have already found refuge in a municipal facility in Bweru, where their security is ensured," he said.

The governor of Ruyigi also said that an awareness campaign would be launched to combat the trade in body parts and belief in witchcraft.

Tanzania has been plagued by a series of attacks targeting albinos, spurring the government into launching nationwide awareness and protection programmes.

An albino was appointed to parliament earlier this year to defend the community's rights in the east African country, where President Jakaya Kikwete said at least 19 murders had been reported over the past year.
Reference: News24.com

Une usine pour anti-rétroviraux aux pays des Milles collines

Le 2ème vice-président de la République, Gabriel Ntisezerana, rentre d’une mission très porteuse d’opportunités pour le Burundi. Comme il l’a affirmé à son retour le 2 septembre dernier, son déplacement aux Etats-Unis et en Belgique lui a permis de mener des contacter et d’en récolter, illico, les dividendes.

A New York, cette personnalité a eu l’occasion d’exposer ouvertement la problématique de financement de l’initiative gouvernementale de gratuité des soins pour les enfants de moins de cinq ans et les mères qui accouchent. Un programme salutaire pour la population mais qui bute sur le manque de liquidités pour faire face à la facture déjà salée pour les hôpitaux et autres centres de santé. Au cours de son étape belge, le 2ème vice-président a pris contact avec les représentants de l’Union Européenne.

Et cette organisation a promis de continuer à soutenir le Burundi, notamment à travers le projet STABEX dans le cadre du renouvellement des palmiers à Rumonge. Son passage en Belgique a été aussi bénéfique à l’enseignement supérieur. Car le président de la cour constitutionnelle belge, un ancien professeur de l’université du Burundi aurait promis de s’investir pour que les anciens professeurs qui furent au Burundi reviennent dispenser des leçons.

En outre, une équipe d’hommes d’affaires belges ont promis de venir installer une usine de production des médicaments anti-rétroviraux et de la quinine pour combattre la malaria.
Source: Jean Bosco Nzosaba sur www.OAG.bi