Saturday, October 25, 2008
Entre Nkurunziza et Rwasa, qui ame vraiment le peuple Burundais?
Pour nous autres naif en science politque mais doté du sens commun: on ne comprend rien ce qui ce passe entre Bujumbura et le mouvement FNL...Le gouvernement sauvegarde la constitution et ne peut pas la violer en aggreant the mouvement FNL come parti politique: Dit donc soyons serieux, le gouvernement a violé la constitution milles et une fois: Si la paix coûte chère comme ça, il n'a pas de choix. FNL de sa part veut garder son nom de sauveur du peuple Hutu: Est ce que garder son nom et refuser la paix au peuple, abadonner leur combattants au cholera à Cibikoke et un peut partout dans le pays un argument convainuant! Attendre non plus après les éléctions de 2010 n'est pas non plus une solution.
Il est bien claire que tout le monde veut une victoire pour le 2010. Mais n'est ce pas que c'est nous le peuple qui guarantie cette victoire?
Voila encore, il faut convoquer une réunion de la sous region pour qu'ils pensent et decident en notre place...Museveni doit être fatique! Je suis desolé de tous les deux: Nkurunziza et Rwasa! Vous nous avez reduis aux spectateurs dans notre propre pays!
Vugaduhabwe
L'article en bas donne le bilan des negociation entre Bujumbura et Rwasa:
Source: arib.info
Bujumbura, Burundi - Le médiateur dans le conflit burundais et ministre sud-africain de la Défense, Charles Nqakula, est reparti jeudi de Bujumbura sans avoir fait bouger les positions des parties belligérantes sur les points encore litigieux dans leur accord de cessez-le-feu, en souffrance depuis plus de trois ans, apprend-on de source diplomatique dans la capitale burundaise.
M. Nqakula avait réuni, la veille, pendant six heures, le chef de l'Etat burundais, Pierre Nkurunziza, et le leader du parti pour la Libération du peuple hutu/front national de libération (PALIPEHUTU- FNL), Agathon Rwasa, mais sans parvenir à rapprocher leurs positions toujours rigides, notamment, en ce qui concerne le changement d'appellation du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays pour mériter l'agrément en tant que parti politique, œuvrant dans la légalité constitutionnelle.
Après Bujumbura, le médiateur s'était ensuite rendu à Kampala, en Ouganda, pour rendre compte des points de blocage dans sa délicate mission au président de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi et chef de l'Etat ougandais, Yoweri Museveni.
Il est ensuite revenu, jeudi, dans la capitale burundaise, avant de retourner chez-lui en Afrique du Sud, mais sans une nouvelle rencontre avec les protagonistes de la crise sociopolitique dans le pays, et sans faire de déclaration à la presse.
Le directoire politique, qui assiste la médiation sud-africaine dans le conflit burundais, s'est chargé de rendre public, ce vendredi, un communiqué de presse très bref, avec surtout des termes diplomatiques, qui renseigne simplement que la présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi a "bien accueilli" le rapport présenté par le facilitateur.
"Par conséquent, l'initiative régionale a instruit les ministres des Affaires étrangères de la Tanzanie, de l'Ouganda et d'Afrique du sud, en collaboration avec la facilitation, d'effectuer une visite au Burundi aussitôt que possible, en vue de poursuivre les discussions avec le gouvernement burundais et le PALIPEHUTU-FNL quant à la voie à suivre pour aller de l'avant", peut-on encore lire dans le communiqué.
L'Ouganda et la Tanzanie assurent, respectivement, la présidence et la vice-présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi.
Le directoire politique, quant à lui, a été mis en place pour épauler la médiation sud-africaine et se compose de diplomates des Nations unies, de l'Union africaine et de l'Union européenne œuvrant au Burundi.
Les points de blocage, dans la mise en application effective de l'accord de cessez-le-feu, font craindre de plus en plus, dans l'opinion nationale, un retour aux hostilités.
La dernière confrontation d'envergure entre militaires burundais et les rebelles du PALIPEHUTU remonte à avril dernier et avait fait une centaine de tués de part et d'autres des belligérants, avant la conclusion d'un nouvel accord de cessez-le-feu entre le pouvoir central et la seule rébellion encore active des sept qu'a connues le Burundi au cours de ces 14 dernières années de guerre civile.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
3 comments:
Iyi migwi ibiri niyituma abarundi bataronka amahoro.
It is all stuborn people who bring endless trouble in Burundi, some plan in long term must be in place to prevent the daily struggle of burundians.....
La crise economique est une chose que un de ces personnes devrait montre le peuple Burundiai mais en vain....
Je pense que ces autorites resteront dans les momoirs de Burundians que les obstacles de la paix durable du peuple Burundais
Uko biri kose, Ingorane ziri mu Burundi abari muri Reta n'abari muri Palipehutu bashaka kutwumvisha ko bitaturaba: Sivyo kuko biraturaba twese. Hari uwo biratangaza kubona ingene iyo vyanse muri ivyo biganiro vyabo mama wanje baca birukira mu bategetsi b'akarere? Mbega abo bategetsi bakarere bazi iki kungorane abarundi dufise...?
Nkurunziza na Rwasa bari bakwiye kugira ikibazo ca palipehutu ikibazo c'abarundi bose kuko biraturaba twese...
Hirya yejo uriya mugabo arongoye CNDD FDD namba ariwe Jeremie asimbira kw'iradiyo ngo reta ntizokwemera palipehutu itabaye umugambwe: Mbega ka bukuru w'umugambwe bisigura ko avugira Reta? CNDD yarikwiye kumva ko tutakiri mu gahotoro kandi ko tutazopfa dusubiyeyo!
Izo ngorane rero nibazishire munama nshingamateka yo iserukira abarundi: Ko baserukira abarundi, ivyo bokwemeza nivyo abarundi tuzofata. Ariko mugihe zikiri ingorane za Nkurunziza na Agathon, ntituzopfa tuvyumvise: none niyo baba bapfa itongo duce tubizira?
Post a Comment