WASHINGTON, Jan 29 (Reuters)
Some $833 million of Burundi's foreign debt was canceled on Thursday under a global program to write off the debts of the world's poorest countries.
In a joint statement, the World Bank and International Monetary Fund said their executive boards had approved full debt relief for the landlocked Central African country, including money owed to the global financial institutions.
The move makes Burundi the 24th country to qualify for debt relief under the Enhanced Heavily Indebted Poor Countries initiative, a program first launched in 1996 launched by rich countries to ease the burdensome debts of poor nations.
The IMF and World Bank said the country would qualify for additional debt relief under the newer Multilateral Debt Relief Initiative, agreed among the world's industrialized countries in 2005.
Burundi said in December it expects some $1.5 billion in total to be written off by creditors, which will save it between $40 million to $45 million a year in debt payments and help revive its economy after more than a decade of ethnic conflict.
"This confirms the quality of Burundi's fiscal and debt management as it emerges from conflict and continues toward economic and social recovery," said John McIntire, World Bank country director for Tanzania, Uganda and Burundi. (Reporting by Lesley Wroughton; editing by Gary Crosse)
Thursday, January 29, 2009
La TANZANIE réagit à l’expulsion des irréguliers étrangers vivant au Burundi
Source: Burundi Tribune
Le ministre Burundais de l’intégration régionale avait rassuré ce lundi 26 janvier que la mesure d’expulser les étrangers vivant irrégulièrement au Burundi ne pouvait pas entacher les relations entre le Burundi et les pays voisins. L’ambassadeur de la Tanzanie au Burundi vient de le contredire.
Réagissant à cette mesure, l’ambassadeur de la Tanzanie au Burundi a dit que les gens doivent vivre en respectant les frontières. "Néanmoins, toute mesure visant à mettre de l’ordre dans ce domaine doit respecter la loi et surtout les conventions de l’union africaine que nos pays ont déjà ratifiées ", a confié l’ambassadeur.
Le Burundi ne s’attendait pas cependant que ce soit la Tanzanie qui réagisse en premier lieu étant donné qu’elle a récemment refoulé des milieux de burundais dans les mêmes conditions ou presque. A cette accusation, l’ambassadeur réplique : " les burundais qui ont été chassés sont ceux qui vivaient dans le parc alors qu’ils devraient être dans des camps de réfugiés& Chez moi à TANGA, il y a beaucoup de burundais et ils parlent le Kirundi, pourquoi ne les avons-nous pas chassés ? "
Le ministre Burundais de l’intégration régionale avait rassuré ce lundi 26 janvier que la mesure d’expulser les étrangers vivant irrégulièrement au Burundi ne pouvait pas entacher les relations entre le Burundi et les pays voisins. L’ambassadeur de la Tanzanie au Burundi vient de le contredire.
Réagissant à cette mesure, l’ambassadeur de la Tanzanie au Burundi a dit que les gens doivent vivre en respectant les frontières. "Néanmoins, toute mesure visant à mettre de l’ordre dans ce domaine doit respecter la loi et surtout les conventions de l’union africaine que nos pays ont déjà ratifiées ", a confié l’ambassadeur.
Le Burundi ne s’attendait pas cependant que ce soit la Tanzanie qui réagisse en premier lieu étant donné qu’elle a récemment refoulé des milieux de burundais dans les mêmes conditions ou presque. A cette accusation, l’ambassadeur réplique : " les burundais qui ont été chassés sont ceux qui vivaient dans le parc alors qu’ils devraient être dans des camps de réfugiés& Chez moi à TANGA, il y a beaucoup de burundais et ils parlent le Kirundi, pourquoi ne les avons-nous pas chassés ? "
Les femmes plus nombreuses que les hommes:Résultats provisoires du recensement au Burundi
C’est ce mercredi 28.01.2009 que viennent d’être publiés les résultats provisoires du recensement général de la population édition 2008, qui s’est déroulé du 16 au 30 août 2008.
Comme l’a annoncé le Ministre de l’Intérieur et du Développement Communal, Vénant KAMANA, la population burundaise dépasse légèrement 8 millions et la majorité est constituée par la population de sexe féminin qui s’élève à 4.117.511 tandis que la population masculine est autour de 3, 900 millions.
Le Ministre KAMANA révèle que la province la plus peuplée est Gitega qui compte plus de 600 milles habitants tandis que la dernière est celle de Cankuzo qui ne compte que 221.391habitants.
Le Ministre de l’Intérieur signale que ces résultats sont toujours provisoires et qu’ils ont été publiés pour permettre aux usagers des statistiques démographiques d’avoir une base de donnée plus récente.
Notons que c’est en 2010 que le Président de la République publiera les résultats définitifs après les opérations de traitement et analyse des résultats, l’élaboration de l’atlas du Burundi et la publication et la dissémination de l’analyse thématique.
Signalons enfin que ce recensement était le troisième du genre après ceux de 1979 et 1990 et qu’il a coûté une bagatelle somme de 6 millions de dollars américains.
Source: Burundi Tribune
Comme l’a annoncé le Ministre de l’Intérieur et du Développement Communal, Vénant KAMANA, la population burundaise dépasse légèrement 8 millions et la majorité est constituée par la population de sexe féminin qui s’élève à 4.117.511 tandis que la population masculine est autour de 3, 900 millions.
Le Ministre KAMANA révèle que la province la plus peuplée est Gitega qui compte plus de 600 milles habitants tandis que la dernière est celle de Cankuzo qui ne compte que 221.391habitants.
Le Ministre de l’Intérieur signale que ces résultats sont toujours provisoires et qu’ils ont été publiés pour permettre aux usagers des statistiques démographiques d’avoir une base de donnée plus récente.
Notons que c’est en 2010 que le Président de la République publiera les résultats définitifs après les opérations de traitement et analyse des résultats, l’élaboration de l’atlas du Burundi et la publication et la dissémination de l’analyse thématique.
Signalons enfin que ce recensement était le troisième du genre après ceux de 1979 et 1990 et qu’il a coûté une bagatelle somme de 6 millions de dollars américains.
Source: Burundi Tribune
Monday, January 26, 2009
Saturday, January 24, 2009
Wednesday, January 21, 2009
Does Burundi have a Hope beyond 2010?
Yesterday I participated in the ceremony of swearing in Barack Obama as president of the United States. Everyone was invited, so was I. As I watched everyone cheer, I was reserved although my emotions were as high as everyone else's in the crowd. I was reserved because I kept remembering my people in the villages of Bujumbura rural, Ruyigi, Nyaza Lac, in Kurundo who can hardly afford a single meal a day...I remembered my fellow Burundians Alexis Sinduhije, Jean Claude Kavumbagu and so many other Burundians who are encarcerated because of their opinion or their potentiality...I wanted to scream aloud enough to let them (Burundians) know that THEIR DAY WILL COME. When I got home, I opened the blog and found a comment on one post about Senators refusing the proposed CENI members. This comment by Janvier confirmed my fears.
Every one needs change...Burundi does not only need change, it needs a LIFE...there are actions that bring about Life and change...Abarundi rero dukwiye gukura amaboko mu mpuzu canke ururimi mu munwa. We can: but we need that Leader who has a VISION and we have such leaders in Burundi..The time to fear a government is over...We who are outside can talk, but people who are in the country can talk as well...All we need is to mobilize people for peaceful reclamation of our basic lives...whatever it takes...Burundians can no longer dance to the music of ignorance nor can we all be blind to the politics that send us to our knees to worship our fellow Burundians: Na Rugereka twaramutsinze. We have to say NO to a government that oppresses its subjects. Politicians need to know our expectations.
To the politicians, we can no longer worship you: Regardless of which party or province you are from, we all know that all you bring to the table is the same things we have seen. For example most of the politicians that we know well have been in Kigobe from the time I was learning to speak: who does not remember Kigobe, Kajaga...name it: don't you remember those names? Since then, what have they done for us? Seriously? All we know is that they don't pay taxes...Abarundi bashora ibitoke bagurisha amafaranga 200 y'amarundi nibo bayagabura na reta....When we go to bed hungry, you don't miss Saga plage; when we cannot afford to pay the hospital fees, you send your kids in South Africa for headache treatment...
We hail the move to refuse the members of the CENI, but we need bold moves: Get together and come up with A Leader for 2010. Show us you are not there for yourselves. We all know that they will be only one president following the election and we all know that we do not need someone who can do what everyone can do. We need a VISIONAIRE.
There are reports that CNDD-FDD is mobilizing its youth to intimidate citizens in some provinces in forms of sport activities....Turazi ko ivyo vyataye igihe, are they forming another Sans Echec? Did they learn from it all...We stand to remind them that the power to conquer Burundi is in the mind...the time for oppressive power is over, Now it is time of Creative power. We also know that FNL still have some militants who might be tempted to use such power: Vugaduhabwe tells you the same...Use that energy to build!
Vugaduhabwe refuses to affiliate itself with any political party...we stand for those Burundians who are tired of a government they elected...You do not need a political affiliation to be frustrated....But if you read this blog, you know that you participate in the discussion: to spread the word that Burundians deserve better...that we can claim our Hope! Throughout the coming months, we will keep challenging the Burundian public to stand for ourselves... Because Hope is a very dangerous thing to loose!
So keep talking...
Vugaduhabwe
Tuesday, January 20, 2009
Le Sénat burundais rejette la composition de la CENI
Source: Arib.info
Ce mardi, les parlementaires burundais, Sénateurs et Députés, ont répondu à la convocation pour une session extraordinaire dont le seul point à l'ordre du jour était l'approbation de la composition des membres de la future Commission électorale nationale indépendante (CENI), présentée par le président de la République Pierre Nkurunziza, append-on de source parlementaire.
Le Senat, la chambre haute du Parlement burundais, a rejeté la composition des membres de la future CENI, par un vote de 18 voix "contre" et 28 voix "pour", selon la même source. Pour être approuver la liste présidentielle devait récolter au moins 3/4 des voix des Sénateurs, soit 35 voix.
A l’Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement burundais, les Députés membres des partis FRODEBU, UPRONA, CNDD et MRC n'avaient pas encore regagné la salle de l'hémicycle de Kigobe craignant qu'au sein de l'UPRONA il y ait des députés "vendus" qui risqueraient d'approuver cette liste, le vote étant secret.
Au Sénat, ce sont les Sénateurs du parti au pouvoir CNDD-FDD qui ont tenté au début de rester à l'extérieur sachant qu'ils n'ont pas les 3/4 des parlementaires requis pour approbation de cette CENI, mais peine perdue. Les Sénateurs du FRODEBU, CNDD, UPRONA et les anciens chefs d'Etat avaient gagné très tôt la salle en ayant les assurances qu'il n'y avait pas de "traitres" dans leur groupe et bien décidés à camper dans l'hémicycle jusqu'au rejet de la CENI de Nkurunziza, chose faite maintenant.
Pour rappel, le président Nkurunziza avait proposé pour approbation une CENI dont la composition est taillée sur mesure pour le président-candidat à sa propre succession en 2010.
Il s’agit de Mme Clotilde Niragira, ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Sécurité sociale, pressentie comme la future présidente de la Commission ; Mgr. Antoine Pierre Madaraga, vicaire général de Ngozi ; Mgr Elie Buconyori, évêque de l'Eglise Méthodiste libre ; Mme Sylvie Kinigi, ancienne Premier ministre ; et M. Didace Birabisha, Chef de cabinet au Ministère des Travaux Publics.
A notre que la composition de la CENI doit être approuvée par les 3/4 des membres des deux chambres réunies séparément. Après le rejet du Sénat, le liste va automatiquement être renvoyée au Président de la République pour revoir sa copie.
Ce mardi, les parlementaires burundais, Sénateurs et Députés, ont répondu à la convocation pour une session extraordinaire dont le seul point à l'ordre du jour était l'approbation de la composition des membres de la future Commission électorale nationale indépendante (CENI), présentée par le président de la République Pierre Nkurunziza, append-on de source parlementaire.
Le Senat, la chambre haute du Parlement burundais, a rejeté la composition des membres de la future CENI, par un vote de 18 voix "contre" et 28 voix "pour", selon la même source. Pour être approuver la liste présidentielle devait récolter au moins 3/4 des voix des Sénateurs, soit 35 voix.
A l’Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement burundais, les Députés membres des partis FRODEBU, UPRONA, CNDD et MRC n'avaient pas encore regagné la salle de l'hémicycle de Kigobe craignant qu'au sein de l'UPRONA il y ait des députés "vendus" qui risqueraient d'approuver cette liste, le vote étant secret.
Au Sénat, ce sont les Sénateurs du parti au pouvoir CNDD-FDD qui ont tenté au début de rester à l'extérieur sachant qu'ils n'ont pas les 3/4 des parlementaires requis pour approbation de cette CENI, mais peine perdue. Les Sénateurs du FRODEBU, CNDD, UPRONA et les anciens chefs d'Etat avaient gagné très tôt la salle en ayant les assurances qu'il n'y avait pas de "traitres" dans leur groupe et bien décidés à camper dans l'hémicycle jusqu'au rejet de la CENI de Nkurunziza, chose faite maintenant.
Pour rappel, le président Nkurunziza avait proposé pour approbation une CENI dont la composition est taillée sur mesure pour le président-candidat à sa propre succession en 2010.
Il s’agit de Mme Clotilde Niragira, ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Sécurité sociale, pressentie comme la future présidente de la Commission ; Mgr. Antoine Pierre Madaraga, vicaire général de Ngozi ; Mgr Elie Buconyori, évêque de l'Eglise Méthodiste libre ; Mme Sylvie Kinigi, ancienne Premier ministre ; et M. Didace Birabisha, Chef de cabinet au Ministère des Travaux Publics.
A notre que la composition de la CENI doit être approuvée par les 3/4 des membres des deux chambres réunies séparément. Après le rejet du Sénat, le liste va automatiquement être renvoyée au Président de la République pour revoir sa copie.
Monday, January 19, 2009
Nkurunziza Convoque une réunion extraordinaire des parlementaires pour approuver la nouvelle CENI
Source: Burundi Tribune
C'est ce mardi 20 janvier que les parlementaires de la chambre basse devront se réunir sur demande du président de la République Pierre NKURUNZIZA.
A l'ordre du jour figure l'approbation des noms qui composent la nouvelle commission nationale électorale récemment désignée par le chef de l'État. Pourtant, des controverses au sujet de cette équipe ne cessent de se manifester depuis que les informations faisant état de sa désignation ont commencé à circuler.
Aujourd'hui, les deux anciens poids lourds de la politique burundaise dont l'UPRONA et le FRODEBU continuent à dénoncer la démarche du chef de l'État sur cette question; démarche qu'ils qualifient de fuite en avant du pouvoir en place. Pour Léonce NGENDAKUMANA président du FRODEBU, il fallait d'abord discuter de l'environnement favorable des élections de 2010, c'est- à- dire voir s'il est ou pas nécessaire d'amender préalablement certains textes comme la constitution, le code électoral et la loi communale. Après analyse de ces textes viendrait alors le débat sur la composition de la CENI quitte à lui assurer l'indépendance et la neutralité nécessaires. Ici, Léonce NGENDAKUMANA attaque ouvertement le décret portant constitution de l'équipe controversée car, pour lui, ledit décret n'a pas du tout privilégié la neutralité et l'indépendance de la CENI.
Selon le président du FRODEBU, les discussions sur les noms des membres de la CENI doivent être précédées de toutes ces révisions ainsi que par la définition des mécanismes de contrôle et de surveillance du fonctionnement de cette commission. Le président de l'UPRONA ne s'écarte pas lui aussi de cette lecture des choses et rappelle la méthodologie qu'il juge adéquate: „ révision des textes d'abord, concertation sur les modalités de mise en place de la CENI ensuite et enfin l'approbation de ses membres «.
RUBUKA ne cache pas ses considérations „ cette manière de faire affichée par le chef de l'État est une sorte de marche en force qui a été adoptée par le pouvoir pour que les partenaires politiques suivent ou ne suivent pas s'ils ne veulent pas. C'est donc une véritable preuve de force que le pouvoir veut imposer aux partenaires politiques, ce qui ne présage pas d'un bon avenir pour ce processus qu'il voudrait commencer «, a t-il déclaré à la presse ce lundi 19 janvier.
Pour leur part, les députés ressortissant de l'UPRONA viennent de sortir une déclaration où ils signifient à l'unanimité le boycotte de cette réunion et affirment leur ferme adhésion aux revendications de leur parti au sujet de la nouvelle CENI.
C'est ce mardi 20 janvier que les parlementaires de la chambre basse devront se réunir sur demande du président de la République Pierre NKURUNZIZA.
A l'ordre du jour figure l'approbation des noms qui composent la nouvelle commission nationale électorale récemment désignée par le chef de l'État. Pourtant, des controverses au sujet de cette équipe ne cessent de se manifester depuis que les informations faisant état de sa désignation ont commencé à circuler.
Aujourd'hui, les deux anciens poids lourds de la politique burundaise dont l'UPRONA et le FRODEBU continuent à dénoncer la démarche du chef de l'État sur cette question; démarche qu'ils qualifient de fuite en avant du pouvoir en place. Pour Léonce NGENDAKUMANA président du FRODEBU, il fallait d'abord discuter de l'environnement favorable des élections de 2010, c'est- à- dire voir s'il est ou pas nécessaire d'amender préalablement certains textes comme la constitution, le code électoral et la loi communale. Après analyse de ces textes viendrait alors le débat sur la composition de la CENI quitte à lui assurer l'indépendance et la neutralité nécessaires. Ici, Léonce NGENDAKUMANA attaque ouvertement le décret portant constitution de l'équipe controversée car, pour lui, ledit décret n'a pas du tout privilégié la neutralité et l'indépendance de la CENI.
Selon le président du FRODEBU, les discussions sur les noms des membres de la CENI doivent être précédées de toutes ces révisions ainsi que par la définition des mécanismes de contrôle et de surveillance du fonctionnement de cette commission. Le président de l'UPRONA ne s'écarte pas lui aussi de cette lecture des choses et rappelle la méthodologie qu'il juge adéquate: „ révision des textes d'abord, concertation sur les modalités de mise en place de la CENI ensuite et enfin l'approbation de ses membres «.
RUBUKA ne cache pas ses considérations „ cette manière de faire affichée par le chef de l'État est une sorte de marche en force qui a été adoptée par le pouvoir pour que les partenaires politiques suivent ou ne suivent pas s'ils ne veulent pas. C'est donc une véritable preuve de force que le pouvoir veut imposer aux partenaires politiques, ce qui ne présage pas d'un bon avenir pour ce processus qu'il voudrait commencer «, a t-il déclaré à la presse ce lundi 19 janvier.
Pour leur part, les députés ressortissant de l'UPRONA viennent de sortir une déclaration où ils signifient à l'unanimité le boycotte de cette réunion et affirment leur ferme adhésion aux revendications de leur parti au sujet de la nouvelle CENI.
Friday, January 16, 2009
Opinion: UN PRESIDENT QUI COUTE CHER AU PEUPLE BURUNDAIS
Par Gratien Rukindikiza
Burundi News
(...)
Il y a des fonctions qui exigent un sens de travail et qui demandent aussi l'analyse des dossiers. Les Présidents des sociétés sont payés pour faire du bénéfice, pour satisfaire les actionnaires. Quand les actionnaires sont mécontents, les dirigeants sont remerciés. Il en est de même des actionnaires populaires. Le Président de la République dirige le pays au nom du mandat du peuple qui est le seul détenteur des actions de la société Burundi.
(...)Au CNDD-FDD, les détournements sont monnaie courante. Une moindre remarque a sa réponse : "Qui ne vole pas ici"? Au moins le 2 è vice Président Ntisezerana s'est déchargé en disant au Président Nkurunziza les yeux dans les yeux qu'il remboursera les quelques trente millions de francs bu du parti quand le Président aura remboursé le Falcon. Les dossiers ne manquent pas en partant du Falcon, des plaques d'immatriculation, des passeports, du carburant nigérian, des cahiers ougandais etc... Qui dit mieux?
Cette corruption généralisée fait que la fonction de la Présidence attire beaucoup de gens contrairement au temps passé. "Qui ferait moins que le Président Nkurunziza"? C'est la phrase qui revient. Ce qui intéresse les gens et désolant, c'est de voler plus et travailler moins. Ce n'est plus gagner plus et travailler moins.
Ce Président coûte cher au peuple burundais. Au lieu d'aider le peuple à sortir de la misère, c'est le peuple qui aide le citoyen Nkurunziza à quitter définitivement de la modestie et à rentrer dans le royaume des riches. Bravo le peuple. Cependant, rien n'est acquis. On a vu des gens riches redevenir des démunis à la suite des erreurs commises et aussi du mal causé aux autres. Personne n'aurait pensé que Mobutu aurait été enterré en catimini loin de sa terre et que son argent disparaitrait dans des banques occidentales. Personne ne maitrise l'avenir et le futur nous réserve des surprises.
Lire Toute L'article Ici
Burundi News
(...)
Il y a des fonctions qui exigent un sens de travail et qui demandent aussi l'analyse des dossiers. Les Présidents des sociétés sont payés pour faire du bénéfice, pour satisfaire les actionnaires. Quand les actionnaires sont mécontents, les dirigeants sont remerciés. Il en est de même des actionnaires populaires. Le Président de la République dirige le pays au nom du mandat du peuple qui est le seul détenteur des actions de la société Burundi.
(...)Au CNDD-FDD, les détournements sont monnaie courante. Une moindre remarque a sa réponse : "Qui ne vole pas ici"? Au moins le 2 è vice Président Ntisezerana s'est déchargé en disant au Président Nkurunziza les yeux dans les yeux qu'il remboursera les quelques trente millions de francs bu du parti quand le Président aura remboursé le Falcon. Les dossiers ne manquent pas en partant du Falcon, des plaques d'immatriculation, des passeports, du carburant nigérian, des cahiers ougandais etc... Qui dit mieux?
Cette corruption généralisée fait que la fonction de la Présidence attire beaucoup de gens contrairement au temps passé. "Qui ferait moins que le Président Nkurunziza"? C'est la phrase qui revient. Ce qui intéresse les gens et désolant, c'est de voler plus et travailler moins. Ce n'est plus gagner plus et travailler moins.
Ce Président coûte cher au peuple burundais. Au lieu d'aider le peuple à sortir de la misère, c'est le peuple qui aide le citoyen Nkurunziza à quitter définitivement de la modestie et à rentrer dans le royaume des riches. Bravo le peuple. Cependant, rien n'est acquis. On a vu des gens riches redevenir des démunis à la suite des erreurs commises et aussi du mal causé aux autres. Personne n'aurait pensé que Mobutu aurait été enterré en catimini loin de sa terre et que son argent disparaitrait dans des banques occidentales. Personne ne maitrise l'avenir et le futur nous réserve des surprises.
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Diaspora to pressure Burundian government to free People incarcerated for their opinions
The Burundian Diaspora are organizing manifestations in Brussels this coming Monday (January-19) to woe the EU to make some pressure on the Burundian government to free all prisoners incarcerated for their views and opinions.
We should remember that among those in prison for such charges include Alexis Sinduhije who is in Mpimba, Kavumbagu Jean Claude, Juvenal Rududura and many other innocent Burundian.
For those who wish to participate. Click Here to view details.
Vugaduhabwe
Wednesday, January 14, 2009
Oh, by the way where are you from?
This paragraph was taken from the january 14th news published daily by www.iwacu-burundi.org As burundians, we kind of know it already, but at this day and age, may be we need to rething and talk about it! The following is the direct quote of the news.
Vugaduhabwe
Certains natifs de Bururi seraient en train de changer leurs cartes nationales d’identité et se réclament originaires de Mwumba, la commune natale du Président de la République, Pierre Nkurunziza. Ils accusent le parti au pouvoir de discrimination régionale dans l’octroi de l’emploi. Selon eux, cette action serait entreprise par le CNDD-FDD pour se venger contre les trois présidents qui ont dirigé notre pays, tous originaires de Bururi. Les associations de la Société civile oeuvrant dans cette province du Sud du Burundi confirment cette information.
Vugaduhabwe
Monday, January 12, 2009
Ninde?
Friday, January 9, 2009
FNL-Palipehutu change de nom et devient FNL
Le Palipehutu-Fnl vient de changer son nom. Désormais le mouvement en cours d’agrément devient la Force Nationale de Libération, FNL. Le président de ce mouvement Agathon Rwasa l’a déclaré devant les membres du Directoire politique, les représentants du gouvernement de Bujumbura et les représentants des corps diplomatiques. Il demande au gouvernement de faire preuve de sensibilité et d’enregistrer ce mouvement comme parti sans autres conditionnalités!
Tuesday, January 6, 2009
2008 une Année Interessante: Rapport de l'Observatoire d'Action Gouvernementale (OAG)
La gouvernance politique
Pendant l’année 2008, et par rapport à l’année précédente, les Burundais avaient espéré que les institutions de la République allaient enfin se stabiliser, dans la mesure où un Gouvernement consensuel venait d’être mis en place. Les crises que l’Assemblée Nationale a connues, n’ont pas permis, malheureusement à toutes les institutions républicaines de bien travailler, étant entendu que l’Assemblée Nationale est l’institution motrice des autres.
Au début de l’année 2008 et à d’autres occasions, des promesses ont été explicitement formulées. Certaines ont été tenues mais d’autres n’ont pas pu l’être. Le dialogue entre les partenaires, qui doit être institutionnalisé dans la gouvernance burundaise, a du mal à s’imposer comme mode de résolution des différends. Les échéances électorales de 2010 semblent avoir influencé certains faits et décisions au cours de l’année 2008, et cela n’a pas toujours favorisé un bon climat politique.
2. La sécurité
L’année 2008 a franchi un pas de géant sur la voie de la paix : c’est le retour au pays des responsable du mouvement PALIPEHUTU-FNL. Ce pas a nourri beaucoup d’espoir dans la majorité de citoyens. Evidemment, ce pas n’a pas permis une amélioration assez significative dans ce domaine. Les citoyens ont continué à être inquiétés quotidiennement, même les élus n’ont pas été épargnés. Les armes ont continué à circuler et à être utilisées pour tuer, voler, violer et torturer. La criminalité est allée grandissante, les droits de l’homme ont continuellement été violés. Ces violences sont principalement imputables au retard de l’application des accords signés entre le PALIPEHUTU-FNL et le Gouvernement. Elles sont aussi imputables aux dérapages de certains éléments des forces de défense de sécurité qui ratent le virage de leur métier par manque de professionnalisme. Elles sont dues également à l’usage de plusieurs armes qui circulent au sein de la population, le programme de désarmement n’ayant pas encore permis d’aboutir à des résultats palpables.
3. La gouvernance judiciaire
L’année 2008 a connu une révolution dans la gouvernance judiciaire grâce à l’adoption du nouveau code pénal qui contient des dispositions révolutionnaires en matière de respect des droits humains en générale et des catégories vulnérables en particulier. Il consacre notamment l’abolition de la peine de mort.
Cependant, l’analyse de la situation révèle des tendances à l’instrumentalisation de certaines structures judiciaires. Elle révèle aussi que le principe de la séparation des pouvoirs n’est pas encore respecté, une indépendance de la magistrature qui est loin d’être acquise et des mécanismes de justice transitionnelle qui ont du mal à se mettre en place. L’on peut noter aussi une persistance de l’impunité et une justice populaire conséquente qui tend à s’installer.
4. Les droits et libertés
L’année 2008 a vu naître de nouveaux médias et cela devrait constituer plutôt une bonne nouvelle dans la mesure où ils apportent, en principe, des chances d’élargir les espaces d’expression et d’information. Mais cette année a vu aussi la violation de certaines libertés, allant jusqu’à la censure de la publication scientifique.
Des citoyens, surtout de l’opposition ont été empêchés de se réunir dans leurs partis politiques au moment où d’autres ont été empêchés de se constituer en partis politiques. Des syndicalistes ont été punis jusqu’à la révocation, pour avoir exercé leur droit syndical. Les membres de la société civile ont été menacés pour leur activisme. On rencontre dans les prisons du Burundi, des personnalités politiques, des membres de la sphère médiatique et syndicale.
Lire tout le rapport Ic: cliquer sur le document en bas de la page pour ouvrir le document en Micosoft word
Pendant l’année 2008, et par rapport à l’année précédente, les Burundais avaient espéré que les institutions de la République allaient enfin se stabiliser, dans la mesure où un Gouvernement consensuel venait d’être mis en place. Les crises que l’Assemblée Nationale a connues, n’ont pas permis, malheureusement à toutes les institutions républicaines de bien travailler, étant entendu que l’Assemblée Nationale est l’institution motrice des autres.
Au début de l’année 2008 et à d’autres occasions, des promesses ont été explicitement formulées. Certaines ont été tenues mais d’autres n’ont pas pu l’être. Le dialogue entre les partenaires, qui doit être institutionnalisé dans la gouvernance burundaise, a du mal à s’imposer comme mode de résolution des différends. Les échéances électorales de 2010 semblent avoir influencé certains faits et décisions au cours de l’année 2008, et cela n’a pas toujours favorisé un bon climat politique.
2. La sécurité
L’année 2008 a franchi un pas de géant sur la voie de la paix : c’est le retour au pays des responsable du mouvement PALIPEHUTU-FNL. Ce pas a nourri beaucoup d’espoir dans la majorité de citoyens. Evidemment, ce pas n’a pas permis une amélioration assez significative dans ce domaine. Les citoyens ont continué à être inquiétés quotidiennement, même les élus n’ont pas été épargnés. Les armes ont continué à circuler et à être utilisées pour tuer, voler, violer et torturer. La criminalité est allée grandissante, les droits de l’homme ont continuellement été violés. Ces violences sont principalement imputables au retard de l’application des accords signés entre le PALIPEHUTU-FNL et le Gouvernement. Elles sont aussi imputables aux dérapages de certains éléments des forces de défense de sécurité qui ratent le virage de leur métier par manque de professionnalisme. Elles sont dues également à l’usage de plusieurs armes qui circulent au sein de la population, le programme de désarmement n’ayant pas encore permis d’aboutir à des résultats palpables.
3. La gouvernance judiciaire
L’année 2008 a connu une révolution dans la gouvernance judiciaire grâce à l’adoption du nouveau code pénal qui contient des dispositions révolutionnaires en matière de respect des droits humains en générale et des catégories vulnérables en particulier. Il consacre notamment l’abolition de la peine de mort.
Cependant, l’analyse de la situation révèle des tendances à l’instrumentalisation de certaines structures judiciaires. Elle révèle aussi que le principe de la séparation des pouvoirs n’est pas encore respecté, une indépendance de la magistrature qui est loin d’être acquise et des mécanismes de justice transitionnelle qui ont du mal à se mettre en place. L’on peut noter aussi une persistance de l’impunité et une justice populaire conséquente qui tend à s’installer.
4. Les droits et libertés
L’année 2008 a vu naître de nouveaux médias et cela devrait constituer plutôt une bonne nouvelle dans la mesure où ils apportent, en principe, des chances d’élargir les espaces d’expression et d’information. Mais cette année a vu aussi la violation de certaines libertés, allant jusqu’à la censure de la publication scientifique.
Des citoyens, surtout de l’opposition ont été empêchés de se réunir dans leurs partis politiques au moment où d’autres ont été empêchés de se constituer en partis politiques. Des syndicalistes ont été punis jusqu’à la révocation, pour avoir exercé leur droit syndical. Les membres de la société civile ont été menacés pour leur activisme. On rencontre dans les prisons du Burundi, des personnalités politiques, des membres de la sphère médiatique et syndicale.
Lire tout le rapport Ic: cliquer sur le document en bas de la page pour ouvrir le document en Micosoft word
Monday, January 5, 2009
Dénoncez la corruption à vos risques et périls : Le Président de l’OLUCOME menacé de mort
Burundi , 2009-01-05 (Burundi Tribune) - Les menaces et intimidations continuent à tomber au sein de l’observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques, OLUCOME en sigle.
Le matin de ce lundi 06 janvier 2009, des tracts ont été ramassés devant le domicile du Président et du bureau de cette organisation. Ces tracts indiquent que dans tout ce qu’il fait, l’OLUCOME a pour objectif de salir l’autorité gouvernementale du Burundi. Les auteurs de ces tracts accusent à cette organisation de se mêler des affaires qui ne la concernent pas et de dénoncer des dossiers qui discréditent le gouvernement aux yeux des bailleurs. Ils reviennent notamment sur les dossiers de détournement comme le dossier inter pétrole et le dossier FALCON 5O.
Ces tracts précisent que si cela ne s’arrête pas dans les meilleurs délais, le Président de l’OLUCOME pourrait perdre la vie. Richard NTAWE, porte parole de l’OLUCOME, réagissant à ces tracts, a indiqué que cela fait quand même peur mais que ce n’est pas la première fois que son organisation fait face à des menaces pareilles. Il en outre précisé que malgré tout cela, l’OLUCOME n’entend pas abandonner sa mission suite à ces menaces et intimidations.
Rappelons que, juste au début de la semaine dernière, un membre de l’OLUCOME oeuvrant à Muyinga avait reçu des menaces de la part du gouverneur lui demandant de quitter sa province pour aller travailler ailleurs ; il a même été arrêté et emprisonné pendant 3 heures.
http://www.BurundiTribune.Com
Lire le raport de l'annee qui vient de passer par l'olocome
Ou visiter Olucome: Ouvrir Olocume web ici
Le matin de ce lundi 06 janvier 2009, des tracts ont été ramassés devant le domicile du Président et du bureau de cette organisation. Ces tracts indiquent que dans tout ce qu’il fait, l’OLUCOME a pour objectif de salir l’autorité gouvernementale du Burundi. Les auteurs de ces tracts accusent à cette organisation de se mêler des affaires qui ne la concernent pas et de dénoncer des dossiers qui discréditent le gouvernement aux yeux des bailleurs. Ils reviennent notamment sur les dossiers de détournement comme le dossier inter pétrole et le dossier FALCON 5O.
Ces tracts précisent que si cela ne s’arrête pas dans les meilleurs délais, le Président de l’OLUCOME pourrait perdre la vie. Richard NTAWE, porte parole de l’OLUCOME, réagissant à ces tracts, a indiqué que cela fait quand même peur mais que ce n’est pas la première fois que son organisation fait face à des menaces pareilles. Il en outre précisé que malgré tout cela, l’OLUCOME n’entend pas abandonner sa mission suite à ces menaces et intimidations.
Rappelons que, juste au début de la semaine dernière, un membre de l’OLUCOME oeuvrant à Muyinga avait reçu des menaces de la part du gouverneur lui demandant de quitter sa province pour aller travailler ailleurs ; il a même été arrêté et emprisonné pendant 3 heures.
http://www.BurundiTribune.Com
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Friday, January 2, 2009
Discours du President Nkurunziza pour la fin de l'an 2008.
Burundaises, Burundais, Amis du Burundi,
1. L’année 2008 s’achève, l’année 2009 commence. C’est le temps favorable pour dire merci au Dieu Tout Puissant, Lui qui nous a gardé en vie jusqu’à ce jour. Que gloire et honneur lui soient rendus pleinement. Nous L’implorons de rester à nos côtés tout au long de cette nouvelle année que sa bonté a daigné nous accorder.
2. C’est également un temps favorable pour faire le bilan de nos activités, de relever les réussites et les échecs, en vue d’élaborer les nouveaux programmes à mettre en œuvre les jours qui viennent.
3. Je formule mes vœux de paix, de bonheur, de prospérité et de bonne santé à tout le peuple burundais ainsi qu’aux étrangers qui vivent dans notre pays.
La devise de cette année 2009 que nous commençons est :
« TRAVAILLONS PLUS, PRENONS UNE PART ACTIVE A NOTRE SECURITE, C’EST LE CHEMIN DROIT VERS LE DEVELOPPEMENT DURABLE. »
Burundaises, Burundais, Amis du Burundi,
Nous voudrions vous rappeler brièvement les grandes réalisations de cette année écoulée.
4. Dans le secteur politique, trois nouveaux partis politiques ont été agréés, trois autres attendent la réponse à leur requête.
5. Le Gouvernement a organisé mensuellement une rencontre avec les représentants des partis politiques agréés, dans le but d’avoir une lecture commune de la loi les régissant et échanger sur d’autres points.
6. Les associations et organisations de la société civile ont également un rôle important à jouer dans la vie nationale. Aujourd’hui, le pays en compte plus de trois cent cinquante (350).
Lizer la suite Ici
1. L’année 2008 s’achève, l’année 2009 commence. C’est le temps favorable pour dire merci au Dieu Tout Puissant, Lui qui nous a gardé en vie jusqu’à ce jour. Que gloire et honneur lui soient rendus pleinement. Nous L’implorons de rester à nos côtés tout au long de cette nouvelle année que sa bonté a daigné nous accorder.
2. C’est également un temps favorable pour faire le bilan de nos activités, de relever les réussites et les échecs, en vue d’élaborer les nouveaux programmes à mettre en œuvre les jours qui viennent.
3. Je formule mes vœux de paix, de bonheur, de prospérité et de bonne santé à tout le peuple burundais ainsi qu’aux étrangers qui vivent dans notre pays.
La devise de cette année 2009 que nous commençons est :
« TRAVAILLONS PLUS, PRENONS UNE PART ACTIVE A NOTRE SECURITE, C’EST LE CHEMIN DROIT VERS LE DEVELOPPEMENT DURABLE. »
Burundaises, Burundais, Amis du Burundi,
Nous voudrions vous rappeler brièvement les grandes réalisations de cette année écoulée.
4. Dans le secteur politique, trois nouveaux partis politiques ont été agréés, trois autres attendent la réponse à leur requête.
5. Le Gouvernement a organisé mensuellement une rencontre avec les représentants des partis politiques agréés, dans le but d’avoir une lecture commune de la loi les régissant et échanger sur d’autres points.
6. Les associations et organisations de la société civile ont également un rôle important à jouer dans la vie nationale. Aujourd’hui, le pays en compte plus de trois cent cinquante (350).
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Thursday, January 1, 2009
Reflection de Gratien Rukindikeza sur l'aide financiere du Rwanda
Par Gratien Rukindikiza
Pour la première fois, le Rwanda a accordé une aide financière à un autre pays. Cette aide est la contribution burundaise à la communauté de l'East Africa et est d'un montant d'un million de dollars. Si le Rwanda est fier de ce geste, tout patriote burundais ne devait pas l'être pour plusieurs raisons.
Le Rwanda est un pays voisin, ami du Burundi. Son économie est concurrente de l'économie burundaise. Les intérêts du Rwanda ne sont tous convergents avec ceux du Burundi. La position de receveur d'aide financière du Rwanda met le Burundi dans une réelle position d'infériorité par rapport au Rwanda. Le Burundi en perd de sa fierté. Si le Burundi ne pouvait pas réunir ce million de dollars alors que son entrée dans cette communauté était indispensable en cette période, cette aide serait politiquement correcte.
Politiquement, le Burundi aurait demandé un moratoire de ses cotisations et que sa part soit prise en charge par la communauté de l'East Africa et non cette procédure de faire payer un pays à la place du Burundi.
Aujourd'hui, le Burundi peut réunir cet argent. Il suffit que le Président Nkurunziza cède l'argent noir qu'il reçoit du pétrole nigérian pour payer la cotisation du Burundi. Il reçoit plus d'un million de dollars par mois en liquide et l'Etat burundais reçoit des miettes de 80 000 dollars sur un compte de la BRB. A quoi bon de se faire ridiculiser deux fois? D'une part en acceptant une telle corruption d'un Président de la République et d'autre part en acceptant une aide politiquement incorrecte alors que le pays a les moyens s'il y avait une bonne gouvernance.
Le Rwanda vient de perdre 20 millions de dollars après le rapport accusateur sur le Congo. La Hollande a annulé son aide de 10 millions de dollars pour deux années et la Suède 10 millions de dollars. Comme le Rwanda tient à respecter ses engagements notamment l'aide financière au Burundi, il vient de faire appel à sa diaspora avec des objectifs précis des contributions. A s'imaginer que la diaspora contribue à plus d'un million de dollars, le Burundi aurait bénéficié de la contribution de la diaspora rwandaise. Les Rwandais de la diaspora sont disposés à contribuer pour aider leur pays car ils affirment qu'ils ont confiance en bonne gouvernance du Rwanda. Ils savent que l'argent sera bien utilisé. Le Rwanda est le meilleur élève de l'Afrique en matière de bonne gouvernance et a accepté un contrôle par un organisme indépendant.
Si le Rwanda peut mobiliser sa diaspora pour une contribution financière en suivant l'exemple de l'Erythrée, pourquoi le Burundi ne pourrait pas s'y mettre? Le manque de vision patriotique, le mépris de la diaspora et la mauvaise gouvernance empêchent les dirigeants burundais à recourir à cet atout non des moindres. Il serait difficile de signer des accords pour faire rentrer des Burundais de l'étranger et de demander à ces mêmes Burundais de contribuer financièrement au budget du pays.
Source: http://burundi.news.free.fr/
Pour la première fois, le Rwanda a accordé une aide financière à un autre pays. Cette aide est la contribution burundaise à la communauté de l'East Africa et est d'un montant d'un million de dollars. Si le Rwanda est fier de ce geste, tout patriote burundais ne devait pas l'être pour plusieurs raisons.
Le Rwanda est un pays voisin, ami du Burundi. Son économie est concurrente de l'économie burundaise. Les intérêts du Rwanda ne sont tous convergents avec ceux du Burundi. La position de receveur d'aide financière du Rwanda met le Burundi dans une réelle position d'infériorité par rapport au Rwanda. Le Burundi en perd de sa fierté. Si le Burundi ne pouvait pas réunir ce million de dollars alors que son entrée dans cette communauté était indispensable en cette période, cette aide serait politiquement correcte.
Politiquement, le Burundi aurait demandé un moratoire de ses cotisations et que sa part soit prise en charge par la communauté de l'East Africa et non cette procédure de faire payer un pays à la place du Burundi.
Aujourd'hui, le Burundi peut réunir cet argent. Il suffit que le Président Nkurunziza cède l'argent noir qu'il reçoit du pétrole nigérian pour payer la cotisation du Burundi. Il reçoit plus d'un million de dollars par mois en liquide et l'Etat burundais reçoit des miettes de 80 000 dollars sur un compte de la BRB. A quoi bon de se faire ridiculiser deux fois? D'une part en acceptant une telle corruption d'un Président de la République et d'autre part en acceptant une aide politiquement incorrecte alors que le pays a les moyens s'il y avait une bonne gouvernance.
Le Rwanda vient de perdre 20 millions de dollars après le rapport accusateur sur le Congo. La Hollande a annulé son aide de 10 millions de dollars pour deux années et la Suède 10 millions de dollars. Comme le Rwanda tient à respecter ses engagements notamment l'aide financière au Burundi, il vient de faire appel à sa diaspora avec des objectifs précis des contributions. A s'imaginer que la diaspora contribue à plus d'un million de dollars, le Burundi aurait bénéficié de la contribution de la diaspora rwandaise. Les Rwandais de la diaspora sont disposés à contribuer pour aider leur pays car ils affirment qu'ils ont confiance en bonne gouvernance du Rwanda. Ils savent que l'argent sera bien utilisé. Le Rwanda est le meilleur élève de l'Afrique en matière de bonne gouvernance et a accepté un contrôle par un organisme indépendant.
Si le Rwanda peut mobiliser sa diaspora pour une contribution financière en suivant l'exemple de l'Erythrée, pourquoi le Burundi ne pourrait pas s'y mettre? Le manque de vision patriotique, le mépris de la diaspora et la mauvaise gouvernance empêchent les dirigeants burundais à recourir à cet atout non des moindres. Il serait difficile de signer des accords pour faire rentrer des Burundais de l'étranger et de demander à ces mêmes Burundais de contribuer financièrement au budget du pays.
Source: http://burundi.news.free.fr/
Le gouvernement libère de prison 247 rebelles FNL
BUJUMBURA (AFP) — Le gouvernement burundais a libéré mercredi 247 prisonniers, des rebelles des Forces nationales de libération (FNL), conformément à un engagement pris lors au cours d'un sommet régional le 4 décembre, a annoncé jeudi le ministre burundais de la justice.
"Le gouvernement a libéré hier officiellement 247 prisonniers civils ou combattants du Palipehutu-FNL, capturés ou arrêtés avant la signature de l'accord global de cessez-le-feu de septembre 2006", a déclaré Jean-Bosco Ndikumana.
Le Parti de libération du peuple hutu est la branche politique des FNL.
"Ils sont désormais à la disposition de la médiation (sud-africaine) qui doit passer dans les différents centres de détention pour les prendre sous sa responsabilité" et les acheminer dans des centres de rassemblement, a poursuivi M. Ndikumana.
Bujumbura et les rebelles des FNL ont accepté le 4 décembre de lever les ultimes obstacles qui empêchaient la mise en oeuvre d'un processus de paix depuis plus de deux ans.
Le président burundais Pierre Nkurunziza s'était engagé à accorder aux cadres rebelles 33 postes de responsabilité et à libérer tous les prisonniers politiques avant la fin de le 31 décembre 2008.
De son côté, le leader des FNL, Agathon Rwasa, avait accepté de renoncer au nom de Palipehutu, qui n'est pas conforme à la Constitution du Burundi, et d'envoyer tous ses combattants dans les sites de rassemblement avant la même date.
"Le président Nkurunziza a déjà proposé les 33 postes au leader des FNL mais celui-ci n'a pas encore répondu et en plus, il vient de libérer les prisonniers politiques avant la date-butoir du 31 décembre", a déclaré à la presse le porte-parole présidentiel, Léonidas Hatungimana.
"Le Palipehutu-FNL doit maintenant cesser de traîner les pieds", a-t-il ajouté.
Contacté par l'AFP jeudi, le porte-parole rebelle Pasteur Habimana, n'a pas voulu réagir "avant la consultation de notre base sur le changement de nom".
"La campagne d'explication du Palipehutu-FNL en vue de leur imminent changement de nom devrait avoir lieu le 3 janvier 2009", précise un communiqué de presse de la médiation sud-africaine, parvenu à l'AFP jeudi, et qui note "des progrès constants et encourageants dans la mise en oeuvre de la déclaration du 4 décembre".
Le gouvernement et les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) avaient signé en septembre 2006 un accord global de cessez-le-feu.
Mais l'application de l'accord achoppait sur le partage des pouvoirs politique et militaire et sur la reconnaissance du mouvement rebelle sous le nom de "Palipehutu-FNL".
Le Burundi tente de sortir de 13 ans de guerre civile qui ont fait plus de 300.000 morts.
Source: AFP
"Le gouvernement a libéré hier officiellement 247 prisonniers civils ou combattants du Palipehutu-FNL, capturés ou arrêtés avant la signature de l'accord global de cessez-le-feu de septembre 2006", a déclaré Jean-Bosco Ndikumana.
Le Parti de libération du peuple hutu est la branche politique des FNL.
"Ils sont désormais à la disposition de la médiation (sud-africaine) qui doit passer dans les différents centres de détention pour les prendre sous sa responsabilité" et les acheminer dans des centres de rassemblement, a poursuivi M. Ndikumana.
Bujumbura et les rebelles des FNL ont accepté le 4 décembre de lever les ultimes obstacles qui empêchaient la mise en oeuvre d'un processus de paix depuis plus de deux ans.
Le président burundais Pierre Nkurunziza s'était engagé à accorder aux cadres rebelles 33 postes de responsabilité et à libérer tous les prisonniers politiques avant la fin de le 31 décembre 2008.
De son côté, le leader des FNL, Agathon Rwasa, avait accepté de renoncer au nom de Palipehutu, qui n'est pas conforme à la Constitution du Burundi, et d'envoyer tous ses combattants dans les sites de rassemblement avant la même date.
"Le président Nkurunziza a déjà proposé les 33 postes au leader des FNL mais celui-ci n'a pas encore répondu et en plus, il vient de libérer les prisonniers politiques avant la date-butoir du 31 décembre", a déclaré à la presse le porte-parole présidentiel, Léonidas Hatungimana.
"Le Palipehutu-FNL doit maintenant cesser de traîner les pieds", a-t-il ajouté.
Contacté par l'AFP jeudi, le porte-parole rebelle Pasteur Habimana, n'a pas voulu réagir "avant la consultation de notre base sur le changement de nom".
"La campagne d'explication du Palipehutu-FNL en vue de leur imminent changement de nom devrait avoir lieu le 3 janvier 2009", précise un communiqué de presse de la médiation sud-africaine, parvenu à l'AFP jeudi, et qui note "des progrès constants et encourageants dans la mise en oeuvre de la déclaration du 4 décembre".
Le gouvernement et les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) avaient signé en septembre 2006 un accord global de cessez-le-feu.
Mais l'application de l'accord achoppait sur le partage des pouvoirs politique et militaire et sur la reconnaissance du mouvement rebelle sous le nom de "Palipehutu-FNL".
Le Burundi tente de sortir de 13 ans de guerre civile qui ont fait plus de 300.000 morts.
Source: AFP
Urupfu ntiruteguza...Bad New for Burundian Refugee(+) in Adelaide-Australia
Burundian Woman dies in house fire at Camden Park.
POLICE are using an interpreter to interview a man whose pregnant wife died in a fire in an Adelaide flat overnight.
Malaika Mkandale died inside the third-storey flat on Anzac Hwy at Camden Park after fire broke out just after 3am.
Neighbours in the block of flats across from Morphettville racecourse called firefighters after hearing exploding glass.
Ms Mkandale's husband, Luka Kageregere and two-year old son Joseph escaped the blaze but the 21-year old perished inside.
Chairman of the African Communities Council of SA, Dr Joseph Masika, said the couple had settled in well since moving to Adelaide in April last year.
"I know Luka and his wife Malaika, they are refugees from Burundi, they came through Melbourne and couldn't live there because they thought it was too big so they came to Adelaide," Dr Masika said.
"They were a very good couple, loving, sharing with other members of the community and they have been very good neighbours."
Dr Masika said Ms Mkandale was pregnant with the couple's second child and said she might have had trouble getting out of the flat.
He said police took Mr Kageregere to be interviewed with the assistance of an interpreter.
Neighbours said they heard glass exploding and a fire alarm but the burning flat and the one next door were engulfed in flames when 30 fire fighters arrived.
Resident Mr Milo Kuga, 20, said he saw smoke and flames blazing from the upstairs flat when he arrived home from New Year's Eve celebration.
"I starting knocking on doors and yelling `fire'," he said. "I did what I could."
Woman dies in house fire at Camden ParkArticle from: Font size: Decrease Increase Email article: Email Print article: Print Submit comment: Submit comment ANDREW DOWDELL, KEN MCGREGOR, DOUG ROBERTSON
January 01, 2009 11:59am
POLICE are using an interpreter to interview a man whose pregnant wife died in a fire in an Adelaide flat overnight.
Malaika Mkandale died inside the third-storey flat on Anzac Hwy at Camden Park after fire broke out just after 3am.
Neighbours in the block of flats across from Morphettville racecourse called firefighters after hearing exploding glass.
Ms Mkandale's husband, Luka Kageregere and two-year old son Joseph escaped the blaze but the 21-year old perished inside.
Chairman of the African Communities Council of SA, Dr Joseph Masika, said the couple had settled in well since moving to Adelaide in April last year.
"I know Luka and his wife Malaika, they are refugees from Burundi, they came through Melbourne and couldn't live there because they thought it was too big so they came to Adelaide," Dr Masika said.
"They were a very good couple, loving, sharing with other members of the community and they have been very good neighbours."
Dr Masika said Ms Mkandale was pregnant with the couple's second child and said she might have had trouble getting out of the flat.
He said police took Mr Kageregere to be interviewed with the assistance of an interpreter.
Neighbours said they heard glass exploding and a fire alarm but the burning flat and the one next door were engulfed in flames when 30 fire fighters arrived.
Resident Mr Milo Kuga, 20, said he saw smoke and flames blazing from the upstairs flat when he arrived home from New Year's Eve celebration.
"I starting knocking on doors and yelling `fire'," he said. "I did what I could."
Is there any think Burundians in Australia should do to avoid such incident happen again??
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