Sunday, March 30, 2008

Can You still Name him "Bangurambona?"

Every name tells a story.

Coffee dealer Charles Ntezahorigwa, an ethnic Tutsi, grew up in the 1950s in a rural area dominated by Hutus who wanted the Tutsis to leave. "They used witchcraft against us and danced nude so our crops wouldn't grow," he said.

The hostile environment was borne out in his name -- Nteza ("I'm expecting"), Kugwa ("To fall"), Ibara ("Something bad"), or "I'm expecting something bad to happen."

Tensions were also recorded in the names of his siblings: Nkinahamira ("I'm playing on quicksand"), Nicayenzi (I'm quiet, but aware I'm in danger") and Bakanibona ("They're planning bad things, but God will protect me").

In Burundi's fatalistic nomenclature, and in a language that can say much in a few syllables, there's Barayampiema ("They're not telling the truth"), Bangurambona ("They're plotting against me"), Barandagiye ("They're following me"), Nzobatinya ("I fear them"), Ntamahungiro ("There is no place to hide").

There is even Hicuburundi ("Burundians kill"), a name linguists say could memorialize tragedy, or warn the child who bears it to be careful -- some countrymen can pose a threat.

Ntahombaye (meaning "I live nowhere") says such appellations aren't meant to express hatred, but to encourage social cohesion.

"It's a way to say to your neighbors, you know their intentions, their bad intentions," he said. "But it's also a way of telling them, 'We're aware of these sentiments you have, and we invite you to change.' " Read on HERE

Frodebu Irahiganwa na CNDD-FDD mukwirukana abanywanyi?

DECISION N° 001 / CND/ 2008 DU CONSEIL NATIONAL DE DISCIPLINE PORTANT EXCLUSION DE L’HONORABLE JEAN MINANI DU PARTI SAHWANYA-FRODEBU.

Le Conseil National de Discipline,

- Vu la Constitution de la République du Burundi ;

- Vu la Loi portant organisation et fonctionnement des Partis politiques ;

- Vu les Statuts du Parti Sahwanya –FRODEBU spécialement en ses articles 31 et 36 ;

- Vu le Règlement intérieur du Parti Sahwanya –FRODEBU spécialement en ses articles 13, 17, 20, 183, 184, 214, 215, 231, 235, 236, 240 241, 242, 243, et 244 ;

- Vu le Règlement interne du Conseil National de Discipline en son article 13 ;

- Vu la décision du Comité Exécutif National n° 01/PSF/2008 du 05 mars 2008 portant suspension de l’Honorable Jean MINANI du Parti Sahwanya-FRODEBU.

- Après avoir analysé les accusations formulées contre Honorable Jean MINANI,

- Délibérant en sa séance du 24 mars 2008.

DECIDE

Article 1

Honorable Jean MINANI est exclu du Parti Sahwanya-FRODEBU.

Article 2

Le Comité Exécutif National est chargé de lui transmettre cette décision conformément à l’article 220 du Règlement Intérieur.

Article 3

La présente décision entre en vigueur le jour de sa signature.

Ainsi fait à Bujumbura, le 24 mars 2008.

- Honorable Gaspard Sindayigaya, Président

- Madame Rosette Nzirubusa, Vice-présidente

- Monsieur Firmato Nahayo, membre

- Maître Fabien Segatwa, membre

- Monsieur Eliphaz Ndayirata, membre

DECISION N° 002 / CND/ 2008 DU CONSEIL NATIONAL DE DISCIPLINE PORTANT EXCLUSION DE L’HONORABLE DIDACE KIGANAHE DU PARTI SAHWANYA-FRODEBU.

Le Conseil National de Discipline,

- Vu la Constitution de la République du Burundi ;

- Vu la loi portant organisation et fonctionnement des Partis politiques ;

- Vu les statuts du Parti Sahwanya –FRODEBU spécialement en ses articles 31 et 36 ;

- Vu le Règlement intérieur du Parti Sahwanya –FRODEBU spécialement en ses articles 13, 17, 20, 183, 184, 214, 215, 231, 235, 236, 240 241, 242, 243, et 244 ;

- Vu le Règlement interne du Conseil National de Discipline en son article 13 ;

- Vu la décision du Comité Exécutif National n° 02/PSF/2008 du 05 mars 2008 portant suspension de l’Honorable KIGANAHE Didace du Parti Sahwanya-FRODEBU.

- Après avoir analysé les accusations formulées contre Honorable Didace KIGANAHE,

- Délibérant en sa séance du 24 mars 2008.

DECIDE

Article 1

Honorable Didace KIGANAHE est exclu du Parti Sahwanya-FRODEBU.

Article 2

Le Comité Exécutif National est chargé de lui transmettre cette décision conformément à l’article 220 du Règlement Intérieur.

Article 3

La présente décision entre en vigueur le jour de sa signature.

Ainsi fait à Bujumbura, le 24 mars 2008.

- Honorable Gaspard Sindayigaya, Président

- Madame Rosette Nzirubusa, Vice-présidente

- Monsieur Firmato Nahayo, membre

- Maître Fabien Segatwa, membre

- Monsieur Eliphaz Ndayirata, membre

Source: Arib.info

Friday, March 28, 2008

Opinion du Leardership Institute

Encore des accusations contre le pouvoir NKURUNZIZA…

Par The Leadership Institute Source Burundi free News

Depuis la crise au Parlement, The Leadership Institute avait choisi de suivre l’actualité à distance, et de laisser les protagonistes politiques s’exprimer les uns et les autres. Nous avons apprécié, encore une fois le professionnalisme des journalistes burundais qui ont couvert cette crise de manière suffisante, équilibrée et sous tous les angles. Bravo pour notre presse. Si toutes les franges de la société burundaise travaillaient de cette manière, le Burundi serait loin !

Nous sortons de notre silence, encore une fois, nous l’espérons pour la bonne cause, afin de partager avec vous quelques commentaires sur l’actualité politique de ces derniers jours.

Voici nos commentaires :

1. Les attentats contre les parlementaires : Alors que l’on nous a dit qu’un suspect était dans les mains de la Police et que nous attendions toujours le résultat des enquêtes, voilà le Président du CNDD FDD qui porte des accusations contre les parlementaires, de la manière la plus cynique qui soit en disant que ce sont eux-mêmes qui se sont lancé des grenades. Cela frise le ridicule et nous regrettons de devoir écrire que c’est indigne d’un politicien de son rang de s’ingérer dans une affaire encore sous enquête, et de surcroit, d’ACCUSER à moins que ce ne soient des ordres déguisés pour manipuler la Police. Pire encore, il va jusqu’à minimiser le devoir du gouvernement de rendre compte du résultat des enquêtes, en prétendant que même d’autres enquêtes n’avaient pas encore abouti dans ce pays. Cela veut dire clairement que sous le gouvernement CNDD FDD, il y aura perpétuation de l’impunité. Donc, rien n’a changé depuis 2005. Pire encore, nous sommes entrés dans l’ère des crimes d’Etat. En effet, si d’autres personnes que celles travaillant pour ce pouvoir avaient été attrapées, sans aucun doute, la justice aurait sévi. Nous pouvons donc tirer la conclusion que les grenades ont bel et bien été lancées par des agents du pouvoir NKURUNZIZA.

2. L’extradition du Colonel BANGIRINAMA : Encore un cas non élucidé. L’opinion semble avoir oublié ce cas macabre d’assassinats extrajudiciaires de plus de trente citoyens burundais. Le pouvoir ne nous dit pas non plus où en sont les procédures d’extradition via Interpol ou les autorités tanzaniennes. Peut-être attend-on encore que d’autres cas soient élucidés comme l’a demandé le Colonel Jérémie NGENDAKUMANA. A suivre…

3. Les manœuvres ethniques du Gouverneur de Ruyigi : La province de Ruyigi a accueilli dans des circonstances peu louables les plus hautes autorités de ce pays venus tenter d’éteindre le feu attisé par l’extrémiste gouverneur de Ruyigi. Cette province risque d’être le théâtre de plus de troubles et violences à caractère ethnique aussi longtemps que le Gouverneur de Ruyigi n’aura pas été limogé. Les visites sur terrain en valent rien aussi longtemps que la source du mal n’a pas été déracinée. A moins qu’il n’ait agi sous les ordres du Président lui-même…La province de Ruyigi serait-elle un laboratoire pour les manœuvres

4. La paralysie au Parlement : Tout en félicitant les femmes et les hommes de l’opposition qui ont éclairé le peuple burundais et la communauté internationale sur les dessous de l’impasse à l’Assemblée Nationale, nous regrettons de devoir leur rappeler que la voie des médias est une bonne chose mais qu’elle doit être suivie d’autres stratégies politiques comme la coordination des actions des différents partis et groupes politiques. Il s’agit de s’organiser pour constituer une « majorité des idées » car l’enjeu de respect de la loi transcende les partis politiques et leurs différences. C’est à ce prix que l’opposition pourra contraindre le CNDD FDD à revenir sur la voie de la démocratie et de l’Etat de droit. Nous regrettons aussi de dire que les parlementaires du FRODEBU, du MRC et de l’UPRONA qui ont soutenu le CNDD FDD dans ses magouilles parlementaires, portent une responsabilité historique et vont endosser toutes les dérives du CNDD FDD. En effet, l’Assemblée Nationale ne constitue que l’étape numéro un d’un plan du CNDD FDD de déstabilisation des institutions et d’instauration d’une VERITABLE dictature au Burundi. Les autres étapes seraient l’ARMEE, la JUSTICE, le secteur EDUCATIF et la filière CAFE, comme nous le montrons dans les points qui suivent.

5. Déstabilisation de l’armée : Nous vous l’avions dit : le CNDD FDD ne contrôle pas l’armée, qui est supposée neutre. Il a décidé de changer cette donne. Rappelez-vous les accusations mensongères contre les généraux tutsis des FDN dans l’affaire BANGIRINAMA. Avec la question qui domine l’actualité en rapport avec la démobilisation de certains militaires burundais, le gouvernement NKURUNZIZA vient de dévoiler au monde entier ses véritables intentions. Alors que le corps de l’armée était considéré comme le seul bastion de la stabilité dans ce pays, voilà que le CNDD FDD s’y attaque et veut le déstabiliser. Pire encore, le gouvernement NKURUNZIZA, par la voie du porte-parole de la Présidence, veut nous faire que c’est sous le prétexte de jouer les bons élèves des institutions de Bretton Woods et d’être le défenseur de la Constitution burundaise. Sans remettre en question la politique de démobilisation, il faut reconnaître que cette question est plus que sensible♪

6. C’est vraiment du jamais vu de voir un gouvernement refuser de prendre ses responsabilités vis-à-vis de sa propre politique et tenter de faire porter toutes les responsabilités sur les institutions de Bretton Woods. Tout en reconnaissant que le désarmement et la démobilisation constituent un enjeu important de la consolidation de la paix et de la stabilité nationale et même régionale, il faut aussi reconnaître que dans la pratique, le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion constitue un défi considérable dans le contexte de tensions politiques actuel où les risques de violences restent élevés. Ces questions méritent une attention particulière non seulement dans le contexte politique actuel mais aussi et surtout dans la reconstruction postélectorale. La façon dont est conduite la réforme de l'armée, au sein de la Présidence de la République, risque de compromettre l'ensemble du processus politique et la stabilité future du pays. L'échec du programme de réforme de l'armée risquerait de déclencher un nouveau cycle de crises politiques et militaires pouvant entraîner une escalade de la violence et la détérioration de la situation humanitaire et des droits humains dans un pays qui a été ravagé par la guerre. La colère des militaires démobilisés constitue une menace pour le programme de DDR et la réforme de l'armée. Plus que toutes les autres réformes, la réforme de l’armée est fondée sur le consensus politique et elle constitue un indicateur essentiel de la réussite ou de l'échec du processus de stabilisation de la Nation. Au-delà de la simple intégration technique et logistique des anciennes parties au conflit, elle doit s'inscrire dans la durée et être mise en œuvre par des structures irréprochables sur le plan des valeurs des droits humains, de la transparence et de la confiance mutuelle pour éviter les crises de confiance et l’opposition à la réforme. Bien que de grands pas aient été accomplis dans la mise en place d'un environnement favorable à la formation d'une nouvelle armée, la façon dont évolue la situation politique dans le pays remet gravement en cause la réussite de la réforme dans son ensemble.

Les mesures en demi-teinte qui accompagnent la démobilisation et la réforme de l'armée, la corruption, la crise de confiance, les tensions ethniques, l'apparente absence de vision de certains dirigeants politiques et militaire burundais et l'inefficacité de la CNDDR composent un tableau qui ne laisse pas présager d’un bon résultat du forcing actuel di gouvernement en matière de démobilisation. L'esprit de la réforme, les méthodes choisies pour la mettre en œuvre et le contexte de son application sont peu susceptibles, à ce stade, d'aboutir à la mise en place d'une armée respectueuse et garante des droits fondamentaux du peuple burundais. Un programme de démobilisation et de réinsertion en situation post-conflictuelle est un programme à haut risque, dont la conception et l’exécution se déroulent au cœur d’un environnement volatil. Il est possible que le processus de mise en œuvre ne soit contrarié par des facteurs politiques ou de sécurité sur lesquels la communauté

internationale ne peut guère exercer d’influence. C’est donc ridicule de voir le gouvernement NKURUNZIZA prétendre être sous la pression des partenaires économiques du Burundi sur cette question. C’est la politique gouvernementale et NKURUNZIZA doit l’assumer et la mener avec sagesse. Son échec ne sera pas incombé à la banque mondiale mais au gouvernement. La vérité est que le gouvernement NKURUNZIZA avance ses pions dans le cadre de sa stratégie de prise de la politisation du corps de l’armée et de la police, en vue des élections de 2010 et du régime de la terreur que lui et ses généraux veulent implanter.



7. La Magistrature : C’est dans ce même contexte que le gouvernement continue de planifier et de faire le forcing pour mettre en place ses pions dans le corps de la Magistrature burundaise. Mais, grâce à la clairvoyance du Sénat burundais, ces manœuvres n’ont toujours pas abouti. Les listes des juges et magistrats nommés et présentés pour approbation par le Sénat continuent d’être refoulés.



8. Le système éducatif : Les crises des enseignants tabassés par des populations manipulées semble faire l’objet d’un plan préparé pour exclure les enseignants tutsis ou politiquement anti-CNDD FDD de certaines localités afin d’y installer des éléments chargés de la politisation de notre système éducatif. Dans quel but, on ne le sait pas encore, mais aussi longtemps qu’il y a un cachet ethnico-politique, cela ne laisse présager rien de bon.



9. La politisation de la filière café : En 2007, le café burundais avait été confié à un seul courtier introduit au Chef de l’Etat par un certain burundais résidant aux Etats-Unis et originaire de Ngozi du nom de Murara. Ce contrat avait été décrié parce que son allocation n’avait suivi aucune règle de transparence et compromettait toute la logique des réformes engagées dans cette filière. Ce contrat de courtage semble tourner autour de la Présidence de la République et passe par une manipulation des caféiculteurs burundais. La stratégie de « CONTROLER » la filière café par le CNDD FDD ne date pas d’aujourd’hui et risque de compromettre le fonctionnement de cette filière stratégique pour l’économie burundaise, mais aussi de compromettre les relations du Burundi avec les institutions de Bretton Woods qui insistent à ce que le gouvernement respecte ses engagements dans la réforme de la filière café. Aujourd’hui, selon les informations à notre disposition, le fameux courtier est de retour et le Président se serait engagé à reconduire son contrat. Le CNDD FDD n’y va de main morte dans sa quête de « biens mal acquis ». Tout cela alors que le peuple burundais attend toujours les résultats de l’enquête parlementaire sur la vente du Falcon…



Nous ne saurions terminer sans parler des dernières attaques du fameux Samson Kwizera, alias KABUTO Daniel, contre la personne de Gratien RUKINDIKIZA. D’abord, nous voudrions rendre hommage à ce dernier pour la retenue manifestée dans sa réponse aux injures contenus dans cet article.



Le fameux KABUTO persiste et signe son engagement pour un journalisme de provocation avec un cachet ethnique et des manières pour le moins cavalières. C’est, à n’en pas douter, un personnage de petit calibre. Son langage n’a d’égal que son raisonnement : à côté de la plaque. Dans le plan macabre du CNDD FDD, il semble se positionner pour être le patron de la RTLM, version burundaise.

Friday, March 21, 2008

La Chanson de la Saison

Umviriza uru rurimbo rujanye n'igihe tugezemwo
Ururimbo de la Saison

Tuesday, March 18, 2008

Hari Abantu Benshi bibabaza iyo hari akaryo na gatoyi ko kuzana Amahoro mu Burundi!

Ndumiwe,
Umuntu azi ingene akahise k'Uburundi nawe nyene yojererwa. Ngira ngo jewe noba ntategereye, Clicka ngaha usome None aba bantu bashaka kuvuga ko Ibiganiro ari umutego wa FNL? Bashigikiye ko igihugu kiguma mu ntambara? Nimba ama ideologies y'abahutu ariyo FNL ishira imbere, Ino association yoyo ishira imbere ama ideologies yande? Bisa N'agahemo basi. S'agahemo gusa, n'akamaramaza!
Yemwe!

Monday, March 17, 2008

Coalition? or just "Abagabo barara Kubiri bakarota rimwe?"

Burundi news, le 17/03/2008
Conférence de Presse organisée par les députés représentant les députés des Partis CNDD, FRODEBU, UPRONA , les députés se prénommant « Groupe des députés Epris du respect de la Loi », ainsi que les députés indépendants.
Mot liminaire
Thème : Propositions pour le déblocage de la paralysie qui frappe l’Assemblée Nationale
Honorables députés, chers collègues
Mesdames /Messieurs les journalistes
Mesdames /Messieurs
Nous, députés, représentant les députés des Partis CNDD, FRODEBU, UPRONA, les députés se prénommant « Groupe des députés épris du respect de la Loi », ainsi que les députés indépendants, avons pris l’initiative d’organiser cette conférence de presse, pour porter à la connaissance de l’opinion publique nationale et Internationale, nos propositions concrètes pour le déblocage de la paralysie qui frappe l’Assemblée Nationale.
Le thème de cette conférence est donc : « Propositions pour le déblocage de la paralysie qui frappe l’Assemblée Nationale
Mais avant d’avancer nos propositions constructives, il sied de rappeler la genèse de cette crise, identifier les conséquences nuisibles qui en découlent, pour proposer des solutions qui soient à la hauteur du défi qui est posé à l’endroit de tous les membres de notre noble Institution.
La Genèse de la crise à l’Assemblée Nationale
La crise qui secoue l’Assemblée Nationale a comme racines les faits suivants :
a) La Violation des règles de Bonne Gouvernance démocratique par le Bureau de l’Assemblée Nationale en complicité avec le Parti au pouvoir
· Le refus annoncé par le Parti CNDD-FDD de la mise en place d’une commission chargée de suivre le processus de paix entre le Gouvernement et le Palipehutu-FNL.
Ceci vise à maintenir le pays dans une situation de conflit permanent avec le Palipehutu-FNL, afin qu’il n’y ait jamais de sécurité totale au Burundi, qui est un préalable des élections pour l’année 2010. Le Parti au pouvoir veut aussi par le maintien de cet état d’insécurité, se donner des prétextes pour éliminer physiquement les adversaires politiques, sous prétexte que ce sont des agents du
Palipehutu-FNL.
(Bandanya gusoma Ngaha: Read more here)

Sunday, March 16, 2008

Ibiganiro vyasubiye I Dar



NÉGOCIATIONS / PROCESSUS DE PAIX (Source: Arib.info)
Reprise des discussions entre les FNL et la médiation
Les rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) ont repris les discussions avec la médiation internationale dimanche en Tanzanie, après avoir rencontré une délégation du gouvernement du Burundi comme ils l’exigeaient, a-t-on appris de sources concordantes.
« Tout se passe très bien à Dar es-Salaam. Les discussions ont repris entre le directoire politique de la médiation et le Palipehutu-FNL ce matin (dimanche), après une rencontre entre une délégation gouvernementale et les rebelles hier dans la nuit (samedi à dimanche) et tôt ce matin », a annoncé une source proche de la médiation, jointe en Tanzanie.
Le directoire politique, qui comprend notamment le représentant de l’ONU au Burundi, Youssef MAHMOUD, et celui de l’Union africaine, Mamadou BAH, a été mis en place pour épauler la médiation sud-africaine, contestée par les rebelles pendant plusieurs mois.
Ces deux rencontres ont été confirmées par une source gouvernementale burundaise et le porte-parole des FNL, Pasteur HABIMANA.
La délégation burundaise est conduite par l’ancien ministre de l’Intérieur et actuel chef de cabinet militaire du président burundais Pierre NKURUNZIZA, le général Evariste NDAYISHIMIYE, "dépêché en catastrophe par le gouvernement dès hier soir", selon la même source.
« La rencontre gouvernement et FNL a permis de débloquer le processus, (...), nous sommes déjà parvenu à un accord de principe sur les modalités techniques pour le retour de la délégation FNL au sein du Mécanisme de vérification et suivi dès le 1er avril », a poursuivi le même diplomate.
Le Mécanisme de vérification et suivi (MCVS), organe chargé d’appliquer l’accord de cessez-le-feu entre Bujumbura et les FNL, est en panne depuis le départ de la délégation rebelle en juillet 2007.
« Les discussions directes ont permis apparemment au gouvernement et aux FNL de surmonter cette crise », toujours selon la même source diplomatique.
Samedi, les rebelles burundais ont demandé à rencontrer le gouvernement avant de poursuivre plus avant leurs discussions avec la médiation internationale.
Le raidissement des FNL est survenu alors que armée et rebelles se sont rejeté samedi la responsabilité d’attaques qui ont coûté la vie à cinq combattants rebelles et un soldat.
Le Burundi peine à sortir d’une guerre civile entamée en 1993 et qui a fait 300.000 morts. Un accord de cessez-le-feu a été signé en septembre 2006 entre les FNL et le gouvernement mais sa mise en application piétine.

Friday, March 14, 2008

Peace Agreement Implementation

Bujumbura, 2008-03-14 (Burundi Réalités Agence Presse) -

Le Programme d’Action résultant de ce mécanisme comprend deux phases qui vont définir le retour de tous les leaders et combatants du FNL au Burundi ainsi que leur intégration politique, sociale et économique dans le pays.
Le programme est divisé en deux phases de six mois. La première phase va impliquer des actions simultanées entreprises au sein du cadre du Directoire Politique et du MCVS en vue de finaliser la mise en application de l’Accord Global de Cessez-le-Feu ainsi que l’accord sur le cadre global pour l’intégration du FNL dans les institutions nationales. La deuxième phase va impliquer le suivi strict et continu par le Directoire Politique afin que tous les aspects précités, soient respectés à la lettre conformément aux dispositions convenues. Voici le programme d'action et son calendrier.
Directoire Politique:
Le Directoire Politique, qui a été mis en place l’année dernière par le Facilitateur, sera composé de:
• Un représentant du Facilitateur;• Le Représentant Spécial de l’Union Africaine au Burundi• Le Représentant Exécutif du Secrétaire Général des Nations unies au Burundi• Un représentant du Gouvernement du Burundi;• Un représentant du Palipehutu-FNL;• Les Ambassadeurs de l’Ouganda, de la Tanzanie et de l’Afrique du Sud au Burundi;• Un représentant de l’Union Européenne
Le Facilitateur peut élargir le Directoire si nécessaire.
Le Directoire Politique, qui sera basé à Bujumbura, s’occupera des obstacles politiques qui peuvent surgir au cours de la mise en application de l’Accord Global de Cessez-le-Feu. Il servira de « point d’écoute « et va promouvoir la confiance entre les parties. Le Directoire va, dans le respect de la Constitution, faciliter le dialogue entre les deux parties, y compris les dispositions politiques qui visent à l’inclusion du FNL au sein des institutions nationales. Il va superviser et assister les parties dans la mise en application de ces dispositions. Le Directoire va communiquer et tenir informés tous les partenaires des développements du processus de paix.
Les interventions du Directoire seront toujours conformes aux lois du Burundi, comme défini dans la Constitution du pays. Le Directoire ne servira pas de forum pour la re-négociation des Accords déjà conclus.
Le Groupe des Envoyés Spéciaux pour le Burundi (GSEB) va appuyer le travail du Directoire Politique, tel que requis. Le Groupe se réunira tous les trois mois pour réviser les progrès du processus de paix.
Calendrier:
Première Phase:
Janvier 2008
• Reprises des pourparlers à Dar Es Salaam entre les Leaders du PALIPEHUTU-FNL et la Facilitation
Février/ Mars 2008
Discussions entre le Directoire Politique et les Leaders du FNL à Dar Es-Salaam sur les points suivants :
• Les préoccupations du PALIPEHUTU-FNL en ce qui concerne le processus.• Programme d’action et priorités immédiates.• Préparation du retour au MCVS, dispositions sécuritaires comprises.
Avril 2008
• Reprise de la participation du FNL aux travaux du MCVS.• Mise en place de toutes les équipes de liaisons du MCVS.• Toutes les équipes de liaison établissent leurs programmes. • L’équipe de liaison chargée de la libération des prisonniers de guerre et politique commence ses travaux.• Sous les auspices des Nations Unies et de l’Union Africaine, une équipe de conseillers techniques au Burundi développe une stratégie et des modalités pratiques à présenter au GSEB qui faciliteraient la réintégration socio-économique au niveau communautaire des combattants du FNL et des autres combattants.
Mai 2008
• Les Leaders du FNL rentrent au Burundi pour prendre part au Processus de Paix.• Sous les auspices du Directoire Politique, les discussions commencent à façonner un cadre politique pour l’inclusion du FNL dans les institutions nationales ainsi que des modalités de transformation du FNL en un parti politique agréé. • Des discussions commencent sur la mise en application des Accords de Principes adoptés le 18 juillet 2006 à Dar Es Salaam.• Libération des prisonniers de guerre et politiques.• Mouvement des combattants vers les zones de rassemblement et début du processus de Désarmement, de Démobilisation et de Réintégration.• Rencontre du Groupe des Envoyés Spéciaux pour le Burundi afin d’évaluer le progrès de la mise en application du processus de paix.
Juin 2008
• Le FNL se transforme en un parti politique ; ses membres participent entièrement à la vie politique, sociale et économique du Burundi.• La mise en application de l’Accord Global de Cessez-le-Feu, sous tous ses aspects, est terminée.• Les accords conclus dans le contexte du cadre politique pour inclure le FNL dans les institutions de pouvoir au Burundi sont mis en application.• La Force Spéciale de l’Union Africaine se prépare à et exécute son retrait du Burundi.
Deuxième phase :
Juillet – Décembre 2008• Le Directoire Politique suit de près la réintégration du FNL pour s’assurer que cela se passe dans le strict cadre des accords conclus entre le Gouvernement et le FNL.• Le Directoire Politique suit de près et fait un rapport sur la mise en application de la réintégration socio-économique des combattants du FNL et des autres combattants démobilisés.
Source: Burundirealite.org

Thursday, March 13, 2008

Muracibuka ruriya Rurimbo bahora bavuga ngo "Ibimenyotso vy'ibihe?"

Ibimenyetso vy'ibihe

Abanyagihugu basigaye aribo bifatira abagizi ba nabi. Abajejwe gucungera umutekano n'ibo bakoreshwa mugu tutoteza, mu kwiba, no kwica ababahaye akazi.

Reta n'abanyagihugu barabana urunuka, hari uwumvirije amakuru (RPA March 13, 2008) muvyabaye mu kabondo? Abanyagihugu BANSE ko musitanteri wa Rohero akoresha igikenye!Abavukanye ibunto baraheze mu Burundi!

Umugambi wo gucamwo abantu ibice wama watekurutse: Aho Nkurunziza na Radjabu biciriyemwo ibice urwaruka rwariko rurwanira Demokarasi, bari bazi ko bikuye umwansi kw'izosi: Uwaciye kw'ishure yoheraheza uno mugani "ng'ururucira mu kaso..." None Radjabu ari hehe? None Nkurunziza we impera n'imperuka azoja hehe? none Adolphe wewe ajoja hehe? Heraheze.

Reka ndabahe akandi karororo, imyaka ingahe iheze, hari uwari azi yuko Nyenicubahiro Nyangoma yotererwa amagerenade umusi umwe na Mathias Basabose canke Mme Nzomukunda? None abarundi bazomenya ryari ko politique yo gucanamwo ataho ikigeza abarundi? Ndabira muri Frodebu, N'abadasigana basiganiye muri polique, Iyo ngwara n'akaranda mugihugu c'amata n'imikeke (murambabarira iwacu ntitwegeka).

Murazi ico ndindiriye? N'uko Alophe na Nkurunziza bacanamwo. Umusi vyashitse, eka noneho si kera cane, Nkurunziza azoca yisubira mukibuga kwibera umumenyereza w'abinonora imitsi kanatsinda ntawuva mw'ikarashishi mari mari mari no muri Presidence....!

Reka ndangize ndabasaba kuraba ivyo uwitwa Maregos yariza ba sebuja






Clika ngaha urabe ibindi uyo musore avuga.

Nivyiza ko n'abandi bahenzwe boja ahabona, abarundi banyotewe amahoro barasumba izo njavyi. Igihugu turagisangiye, kiba gito kiba kinini!

Wednesday, March 12, 2008

Panique à Kinshasa où la population retient son souffle!



Que se passet-il à Kinshasa ? La question se pose tant en RDC qu’à l’étranger au sein de la diaspora congolaise depuis plus d’une semaine. Et pour cause, une rumeur qui a la peau dure donne Kabila Kabange pour tué, tout au mois blessé par balle.Mardi 04 mars courant, le centre ville de Kinshasa a été gagné par une grosse frayeur et s’est vidé de ses occupants aux heures de midi, la très perspicace radio trottoir kinoise ayant annoncé la diffusion d’un flash d’information à 11h puis 15h sur la très officielle Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC). La nouvelle est rapportée par la tout aussi officielle Agence congolaise de presse (ACP) dans son bulletin de ce mercredi 05 mars. Le souvenir du 16 janvier 2001, jour de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila ka Makolo, étant encore frais dans les esprits, les bureaux sont restés vide ce mardi et les entreprises fermées, chaque kinois voulant gagner son domicile pour suivre, en lieu « sûr » la grave nouvelle qu’allait annoncer la RTNC. Les Kinois ont donc du attendre Godot. Soit !Qu’on se souvienne néanmoins qu’alors que Laurent-Désiré Kabila était assassiné avant midi dans son bureau du Palais de Marbre, les officiels de l’époque avait commencé par annoncer un important message du gouvernement à suivre à travers un flash de la RTNC. Une véritable pièce tragi-comique jouée avec cynisme par Théophile Mbemba Fundu, alors gouverneur de la Ville, qui invitait les Kinois à garder leur calme en annonçant que le Chef de l’Etat était légèrement blessé : « Mokonzi wa biso azoki ba pota ya mile mike » ! Eddy Kapend Irung, Aide de camp du tombeur de Mobutu, avec Gaëtan Kakudji, ministre de l’Intérieur à ses cotés, soutenait lui que le chef de l’Etat invitait l’armée à se tenir prête pour défendre la patrie, tout en donnant des ordres aux autorités tant civiles que militaires. La suite est connue de tous : ce ne fut qu’une révolution de palais marquée par le fait que la République devenait un royaume, le fils ( !) ayant succédé à son géniteur. Ce, à la suite d’une machiavélique procédure de désignation de Joseph Kabila comme coordonnateur intérimaire de l’Exécutif en attendant le rétablissement du président « blessé » évacué à Harare d’où il reviendra officiellement les pieds en avant. Plus de sept longues années déjà !


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Tuesday, March 11, 2008

Any one with Some Update about DRC ?



Hallow everybody. Does anyone have updates about security situation in Congo DRC particularly the prevailing security situation around President Joseph Kabila.

Thanks!Paul.


Mbajije ico kibazo kuko Congo ifise uruhara runini mu bijanye n'umugambi w'amahoro n'iterambere iwacu mu Burundi.

Monday, March 10, 2008

Abarundi, Abanyamahanga bose birajana: Le Burundi devient de plus en plus un Non-Go-Zone!

Attaques contre parlementaires : l’ancienne résidence de NYANGOMA visée
Photo ARIB.INFO
Vue partielle des dégâts provoqués par l'explosion de grenades à l’ancienne résidence du député Léonard NYANGOMA

Les attaques simultanées, à la grenade, contre les domiciles de trois députés et d’un sénateur survenues dans la nuit de samedi à dimanche à Bujumbura, visaient également l’ancienne résidence du député Léonard NYANGOMA, président du CNDD (opposition), a-t-on constaté sur place.
L’ancienne résidence du leader de l’opposition est aujourd’hui occupée par des Italiens de l’ONG « CISV/CCM ». Suite à l’attaque, qui n’a fait que des dégâts matériels, ces Italiens sont aujourd’hui tellement traumatisés qu’ils ont encore peur de regagner leur demeure.
Pour rappel, outre l’ancienne résidence de Léonard NYANGOMA, les attaques terroristes de samedi visaient également les habitations des parlementaires Alice NZOMUKUNDA, Mathias BASABOSE, Pasteur MPAWENAYO et Zaituni RADJABU.
Tous ces parlementaires font partie des 46 signataires de la lettre adressée au Secrétaire général de l’ONU, dans laquelle ils lui annonçaient craindre pour leur sécurité. Les évènements de ce week-end leurs donnent effectivement raison. Tous les regards se tournent maintenant du côté du pouvoir, accusé par beaucoup d’être l’instigateur de ces attaques. Source: Arib.info

Sunday, March 9, 2008

More Politics News

Le Président du FRODEBU, Léonce Ngendakumana, explique l’état des lieux à l’Assemblée Nationale, les difficultés au sein du FRODEBU et le problème de la sécurité au burundi.
BR Staff
Bujumbura, 2008-03-09 (Burundi Réalités Agence Presse) - Burundi Réalités :
Monsieur le Président, Bonjour.Léonce Ngendakumana : Bonjour.B.R. : Monsieur le Président, comment appréciez-vous l’état de la sécurité au Burundi ?L.N. : Comme vous l’avez constaté, ces derniers temps, il y a eu recrudescence de la violence à travers le pays. La preuve en est que le Burundi a été remis en phase III par les Nations Unies. Cela démontre à suffisance qu’il y a une insécurité généralisée à travers tout le pays.Nous avons appris récemment qu’il y avait une tentative de réarmement des ex-combattants et nous sommes sur les traces de ce processus de réarmement que tout le monde, y compris vous les média, a décrié. Nous avons appris aussi que le mouvement PALIPEHUTU-FNL se renforce du fait que la résolution du conflit entre le Gouvernement burundais et ce mouvement traîne ; cela crée des frustrations qui font que les jeunes, on le sait et on le voit, quittent même les bancs de l’école pour rejoindre les combattants du mouvement PALIPEHUTU-FNL.Et comme le PALIPEHUTU-FNL ne parvient pas à les encadrer et à les nourrir tous, ils sont obligés de faire recours au sein de la population pour des approvisionnements, d’où les cotisations forcées. Cela contribue à la dégénérescence de la sécurité. C’est une question que nous avons discutée avec le gouvernement par le biais des questions orales. Nous avons interpellé le 1er Vice-Président de la République , le ministre de la défense nationale ; celui de l’intérieur et celui de la sécurité publique et se sont tous expliqués. Nous avons fait la tentative, au niveau de l’Assemblée Nationale, de créer une commission chargée de suivre l’application de l’accord de cessez-le-feu entre le mouvement PALIPEHUTU-FNL et le gouvernement, le Sénat a interpellé le même 1er Vice-Président de la République , les mêmes ministres sur la même question. Vous comprenez que c’est une grande préoccupation maintenant.

Saturday, March 8, 2008

News from Home

Des bombes tombent sur les résidences des parlementaires de l'opposition.
BR Staff

Bujumbura, 2008-03-08 (Burundi Réalités Agence Presse) -
Des informations arrivant à la rédaction de Burundi Réalités indiquent que certains parlementaires ont fait l’objet d’une attaque de sources non spécifiées. C’est vers 19 :30 heures de Bujumbura que des bombes sont tombées sur les résidences de Mathias Basabose, Pasteur Mpawenayo de la faction Radjabu du CNDD-FDD, Alice Nzomukunda qui vient d’être illégalement destituée de la première vice-présidence de l’assemblée Nationale et de Radjabu Aituni, la sœur de Radjabu Hussein qui fait parti de la faction Radjabu du CNDD-FDD. Burundi Réalités vient aussi d’apprendre que le cortège de la nouvelle et contestée vice-présidente de l’Assemblée Nationale a été impliqué dans un accident qui a causé la mort de deux citoyens burundais. Il est à noter que plus de quarante parlementaires avaient écrit aux Nations Unies demandant protection sur base des informations non confirmées indiquant que le pouvoir Nkurunziza avait préparé une liste d’environ 350 personnes que le pouvoir compte éliminer. Le gouvernement avait sorti un communiqué démentissant l’existence de ce plan. Cette attaque des parlementaires appartenant tous à l’opposition donne une certaine crédibilité aux appréhensions des parlementaires qui ont demandé la protection des Nations Unies. Des sources proche du bureau des Nations Unie au Burundi indiquent que cette institution avait pris la lettre des parlementaires très au sérieux.

Kaze Mwese

Woba uri Umurundi, canke Umuntu? Uvuga ururimi abandi bategera? Woba ukiri muto? Canke ufise incuti n'abaryango baba mu Burundi? Eka canke Woba uba mu Burundi? Hanze?

Nshaka ko duhurira kuri "VugaDuhabwe" kugirango tuganire. Urwaruka rw'abarundi twarasigaye inyuma cane kubijanye n'igihugu caku, canke aho tubaye. Hoba hari Website wabonye ushaka ko abandi babona?

Hari ico wabonye: Ereka abandi ? Hari ico ushaka kumenyesha abandi? Hari ikikubakiye? Hari ikiguteye amakenga mu mibereho y'uburundi n'abarundi? Hari ibanga ryagufashije ushaka ko abandi bamenya? VugaDukire nico igiye kumara! Abarundi bavuge ata mutima usimba, Abarundi bavuge aho tugwaye, Abarundi turonderere hamwe umuti w'ibitugoye.

"VugaDuhabwe" igenewe kuduhuza, ngo tuvuge...tuganire.
Ntagutyozanya birekuriwe, turazi ko arico cazingamitse igihugu, ariko nimba ushoboye kwandika muri ubu buhinga, vyereka abandi ko ufise ico wiyumvira coshobora gufasha abandi,

Turaguhaye ikaze!